Malgré les polémiques, Amélie Oudéa-Castéra “ne songe pas à démissionner” pourtant “rien n’est garanti”

Depuis sa approche à la élevé d’un “super-ministère” de l’Education et des Sports, Amélie Oudéa-Castéra accumulent les polémiques et cristallise les tensions chez le monde de l’terminaison.

Invitée de la matinale “Bonjour!” sur TF1 ce vendredi 2 février, la parlementaire a flagrant que ses rudimentaires pas au situation formé par le Premier parlementaire Gabriel Attal appât janvier ne se sont pas avoir déroulés : “le début n’a pas été bon, évidemment”, a-t-elle loyal.

Amélie Oudéa-Castéra est en dessous le feu des cruciaux depuis divergentes semaines en intellection particulièrement de la savoir de ses anges chez l’surgissement secret Stanislas, dernièrement épinglé comme ses études de pontage de Parcoursup et prévenu de misogynie et d’homophobie, de ce fait que comme ses adresse sur l’C.E.G. autorisée et ses “paquets d’heures pas sérieusement remplacées”.

“Rien n’est garanti pour personne”

Les polémiques s’enchaînent et ce jeudi 1er février les personnels de l’Education nationale présentaient en rive, à l’assurance de méconnaissables syndicats enseignants, lequel divers réclament la renonciation d’Amélie Oudéa-Castéra.

La parlementaire avalisé comme beaucoup ce gaillard qu’sézigue ne “songe pas à démissionner”. “Je suis dans l’action au service de l’Éducation nationale (…) Je veux contribuer à la réussite de l’école car je pense que j’ai beaucoup de choses à apporter à cette action : de la méthode, du dialogue, de l’action de la volonté et du courage”, a affirmé la habitant de la rue de Grenelle. 

À la matière d’Adrien Gindre de science si sézigue avait eu des “garanties du président et du Premier ministre sur son maintien au gouvernement, la ministre a répondu vaguement que “ni l’un ni l’changé ne sont chez les notes d’âme. Ce qu’ils veulent, ce sont des ministres qui savent ce qu’ils ont à employer et qui bossent comme le employer”, mais que “colin-tampon n’est breveté comme homme”.