Les une paire de communes de Vigneux-de-Bretagne et de Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique) , situées à la serré nordique de l’agrégation nantaise, ont été au groupe du roman de la ZAD (Zone À Contrarier), qui a public un graphique en 2018 pendant le essai de déménagement de l’station de Nantes a été abandonné. Le avertissement départemental, créancier d’grossièrement 1 000 hectares, avait avec signé une isolement de baux ruraux puis des zadistes historiques, prometteur des projets alternatifs analogues que l’cheptel, la boulange, ou le horticulture. Cependant, compris 150 et 200 d’compris eux refusent de se marier à ces projets prescrits et réinvestissent les lieux-dits de l’ex-ZAD, constituant des zones de non-droit entre le forêt.
Selon Gwënola Franco et Jean-Paul Naud, ces zadistes ne respectent pas les menstruation en poigne, s’affranchissant de procédures administratives pareilles que l’ventilation, les pris de bâtir, ou les déclarations de principes. Les une paire de maires soulignent l’hâte galette des habitants avant à cette particularité, décrivant des effondrilles d’ordures sauvages et un non-respect indiscutable de l’externe biologique du endroit.
Pas de constitution. Les maires demandent depuis comme de une paire de ans au avertissement départemental de engloutir des mesures, exclusivement à eux balises restent hormis constitution. Lors d’une attaque au rôle de l’Intérieur le 19 décembre 2023, ils à eux a été conseillés de diriger dénigrement à cause tâtonner les procédures d’écoulement, franche Le Point. Ils avaient le charpente de la sénatrice LR Laurence Garnier,.
Contacté par Le Point, le mandataire du avertissement départemental « ne remet pas en motif les dessein des maires » exclusivement s’efficient de facultés de commissariat et de soulagement authentifiée, « c’est caractéristique aux maires d’inquiéter sur ces sujets » affirme-t-il, même si les squatters occupent des terres approprié au avertissement départemental.
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