Mercredi 21 février, les colistiers de la facture d’antipathie Union citoyenne spiripontaine ont annoncé chez un correspondance rétabli à la municipalité qu’ils ne siégeraient pas en palabre communal. Faute d’un monde matamore d’élus, des élections municipales anticipées vont caractère organisées.
“J’ai déposé ce matin (mercredi 21 février) en mairie les lettres des 19 réservistes de notre liste UCS (Union citoyenne spiripontaine) qui refusent de siéger en conseil municipal” signe Béatrice Redon, ex-chef du regroupé d’antipathie de Pont-Saint-Esprit. “Donc il n’y a plus de réserve d’élus et on va vers des élections” explique la désormais élémentaire mignonne municipale en conséquence sa eccéité désistement le 13 février, en tenant celle-ci de cinq de ses colistiers (Béatrice Redon, Laurent Ouillon, Hervé Rouquette, Océane Augustin, Michel Onde, Jérôme Carminati) sur les sept de son regroupé.
La prévôt de Pont-Saint-Esprit, Claire Lapeyronie, le confirme : “il va falloir revoter après les démissions de ce matin”, un inconnu du palabre communal – qui comptait 33 élus – accomplissant désormais autonome en conséquence contraires unanimes de départs pendant les élus de la allié ordinaire du Gard rhodanien. La commencement, le 1er février, avait concerné huit élus de la manumission, lequel quatre ex-adjoints (Christine Clerc, Benjamin Desbrun, Karima Loric, Vincent Rousselot), et quatre conseillers municipaux.
“Il y avait des tensions internes”
Ces quatre adjoints, et la initiatrice municipale de la manumission Laure Regamey, s’incarnaient vus repousser à elles délégation par Claire Lapeyronie le 27 octobre nouveau. “J’ai pris mes responsabilités en leur retirant les délégations (par arrêtés municipaux). Cela a été une décision difficile, mais il y avait des tensions en interne, c’était devenu intenable, à la fois avec les autres élus et avec les agents municipaux” rappelle la prévôt de Pont-Saint-Esprit. “Et cela freinait la mise en œuvre de notre travail”. Le 3 brumaire, donc d’un palabre communal incroyable, l’enveloppe avait voté à la manumission le recul de à elles activité des quatre adjoints concernés.
“Il y a eu aussi la démission de Léo Gastaldi, conseiller municipal de la majorité ” cordiale Benjamin Desbrun, ex-adjoint démissionnaire de la manumission municipale. “Ce refus de siéger au conseil municipal des réservistes de la liste UCS était prévisible mais je ne pensais pas que ça arriverait aussi rapidement” commente-t-il. “Ça faisait partie des risques”. Si “à ce jour“, les dissidents de la manumission municipale n’ont pas débuté de acceptation relativement à la troupe d’une facture revers les élections partielles qui se profilent, “nous prenons acte de cet événement”.
Une communiqué défection que déplore Claire Lapeyronie, “j’aurais préféré que l’opposition ne démissionne pas, on a travaillé de manière constructive avec l’UCS, mais je respecte son choix”. Elle rappelle que sa manumission noté désormais 17 élus, qui “restent plus que jamais engagés pour résoudre les difficultés des habitants, que ce soit la sécurité, la santé, la propreté“.
“Je serai tête de liste dans la continuité du travail fait depuis 2018”
D’ailleurs, Claire Lapeyronie signe qu’miss se représentera et qu’miss sera “tête de liste dans la continuité du travail fait depuis 2018. De nombreuses personnes souhaitent nous rejoindre” affirme-t-elle. “J’espère que le délai pour ces élections sera court, pour qu’on se remette rapidement au travail”. Les élections municipales anticipées devraient caractère organisées d’ici trio salaire.
Quant aux opposants qui ont démissionné plantureusement, “je pense qu’ils ne seront pas beaucoup à se représenter” souligne Béatrice Redon. Elle, en intégral cas, ne repartira pas.
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