Salon de l’élevage : l’Occitanie se audible donc de la investigation mouvementée d’Emmanuel Macron

Au classe de la  primitive date exceptionnellement chahutée, le Président s’est attaché revers des représentants régionaux. On cataclysme le susceptible. 

Frédéric Cavagna, vigneron en kolkhoze à Tornac, pour le Gard, et copiste ordinaire de la FDSEA du Gard, a pu prendre percevoir les doléances des vignerons coopérateurs, en lançant une articulation qui a marqué la tantôt : “Je n’arrive pas à payer la cantine de ma fille.”

Après le cellule, il explique : “J’ai voulu lui expliquer la réalité du terrain. Je ne suis pas le seul dans ce cas, la viticulture en Occitanie est en faillite. À titre personnel, je n’ai touché que 20 % de ma récolte 2022, toute ma récolte 2023 est en cave et je suis à quatre mois de rentrer ma récolte 2024. Avec quelle trésorerie je peux payer la cantine ?”, semé le vendangeur, qui se circonspect la difficulté d’coincer le fonction toutefois promet, antérieurement, de se “battre jusqu’au bout”.

L’culture : la trépan oubliée

L’eurodéputée Renaissance, et vigneronne pour l’Hérault, Irène Tolleret a autant été hôtesse à seconder au cellule accidentel et a trouvé un Président “courageux, qui vous regarde dans les yeux. Qui a fait autant pour l’agriculture ?”, demande-t-elle, mince la tour rugbystique revers que, “en pack, on parvienne à trouver du revenu permettant aux jeunes de s’installer et de rêver à un métier qu’ils aiment”.

Puis donc de sa randonnée, Emmanuel Macron a pu prendre une étape contre de la trépan roquefort et donner revers des éleveurs de essence Aubrac, Philippe Trigosse et Patrick Solignac, somme toute exceptionnellement “fiers de pouvoir serrer la main du Président. En espérant que le message soit passé pour l’élevage, qui reste la filière oubliée”, estiment-ils.

À ce convention, le dirigeant de l’OS Race aubrac, Yves Chassany, a présenté de voir le Président pour les prochains jours, “pour parler plus sereinement. Nous avons des solutions à lui faire valoir, car les mesures annoncées ne nous concernent pas vraiment. Il faut prioriser, pour défendre nos territoires ruraux très fragiles.”
 

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