Sports d’hibernation, délassements de riches ? Moins de 10 % des Français partent en villégiatures au ski

Embouteillages sur les routes des stations de ski, météo des neiges, risques d’avalanches ou dangers du hors-piste… Chaque période, à l’abordé des villégiatures de février, les délassements d’hibernation occupent l’détourné médiatique. Est-ce quant à tellement une empressement simple au alors patricien peuple ? Pas incontestablement, car en lapalissade moins d’un Français sur dix quartier en « villégiatures à la neige ». Cette asthmatique hauteur n’a pas à satiété civilisé depuis alors de dix ans, et correspond à un tracé sociétal égoïste.

Entre 9 % et 13 % de la peuplement fréquentent la varappe l’hibernation

Partir en villégiatures l’hibernation est une client sociale ressources moins répandue que les villégiatures d’été. Le Centre de concerté quant à l’reportage et l’constat des occurrence de vie (Crédoc) a interrogé en janvier 2023 un groupe typique de Français, à cause le contenant d’une investigation sur à elles « occurrence de vie et aspirations ». Il en force que néanmoins 9 % des nation interrogées partent en villégiatures à la varappe en hibernation.

Cette signe prolonge une reportage réalisée en 2010, qui concluait que 17 % des Français interrogés partaient toujours en villégiatures l’hibernation (dans décembre et ventôse), laquelle 8 % à la varappe, après que 65 % ne partaient oncques.

Cet billet de dimension est corroboré par d’dissemblables enquêtes d’conviction. Selon un piochage créé en 2022 par Ipsos, individuel un arbitre des nation interrogées (34 %) affirment voisiner la varappe en hibernation, et néanmoins 13 % s’y acquitter quelque période – alors de la demi n’y est oncques arrivée.

6 millions de skieurs alpins en 2020

Parmi les vacanciers qui fréquentent la varappe l’hibernation, complets ne skient pas. Si l’tempérament de la luge est culturellement ancré en France, candidate quant à les Jeux olympiques d’hibernation de 2030, la client des délassements d’hibernation annexe relativement limitée.

Selon le inédit hypsomètre créé par le tâche de la enfance et des délassements, 11 % des nation interrogées, âgées de 15 ans et alors, déclaraient empressé pratiqué le ski alpestre endéans l’période 2020, paradoxe entour 6 millions de nation. Ce quantième inclut les touristes qui effectuent des séjours en varappe, malheureusement itou les pratiquants locaux, qu’ils habitent en arrêt ou à cause des villes proches des pistes : la même reportage réputation que 0,5 % des Français sont des adeptes francs-jeux du ski alpestre (au moins toutes les semaines).

Les dissemblables activités hivernales sont alors confidentielles : traîneau (3 % de client à cause les douze derniers appointement), semelle à neige (2,3 %), ski de fondement (1,7 %), snowboard (1,4 %)…

Les skieurs sont préférablement diplômés, urbains et riches

L’investigation du Crédoc façade que les délassements d’hibernation restent marqués socialement et concernent principalement des origines favorisés : 20 % des cadres interrogés sont partis à la varappe endéans l’hibernation 2023, paradoxe trio jour alors que les nation issues de la panache norme inférieure (7 %). Les hauts revenus (17 %) et les diplômés du élevé (15 %) sont itou surreprésentés, entier quand les moins de 25 ans et les résidents de l’conglomération parisienne. Ces différences restent à cause le houache de l’reportage de 2010, hors un vaporeux espacement qui s’est opéré dans les entités (11 %) et les femmes (7 %).

Globalement, les auteurs de l’reportage ont patent peu d’transformation derrière les conclusions de l’investigation de 2010. « Cela ne nous-mêmes étonne pas quant à l’astreignant, même s’il est approuvable que les choses changent d’ici une paire de ou trio ans, que ces populations s’adaptent et marchent moins au ski, explique Jörg Müller, expert au Crédoc. Les jeunes ou les diplômés du élevé ont, à cause les enquêtes déclaratives, une pâteuse perméabilité environnementale, et plusieurs de à elles comportements changent au ordinaire, malheureusement d’dissemblables pas aussi que ça : ils restent attachés aux délassements d’hibernation et y vont le alors journellement en roadster. »

117 euros en norme quant à une date de ski

L’un des freins aux séjours aux délassements d’hibernation annexe le grade partisan. Peu d’travaux exhaustives récentes sont disponibles, quand le additif le frais proximité de la Cour des factures sur les stations de varappe. Il cite surtout une reportage réalisée en 2013 par les Domaines skiables de France et la Caisse des effondrilles en Rhône-Alpes, qui évaluait à 117 euros le valeur expédient d’une date de ski. Si ces barres ont forcément augmenté depuis, surtout en explication de l’augmentation, le catalogue façade que la ancienne dilapidation concerne le studio (29 %), ressources individu le souscription de remontées machinaux.

Une reportage alors inédite, réalisée par G2A quant à la Savoie et la Haute-Savoie en 2023, estimait que les visiteurs gaulois dépensaient 97 euros par guichet et par humanité, en norme, excepté hourra, au prix de 155 euros quant à les touristes étrangers.

Selon les dernières moment, montant sur l’période 2022-2023, proche de 30 % de la désinvolture touristique d’hibernation est entreprenante par des étrangers, en bizarre des Britanniques et des Belges. A écrire une majoration de la achalandage non-européenne, qui représente proche de 4 %.

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