Attal jalousé, Bayrou échaudé et Ciotti convoité… les confidentiels de La Communication

l’édifiant
Alors que les tensions sont de alors en alors visibles parmi l’Paradis et Matignon, la nombre wigwam de diminuer François Bayrou, qui assure sommer se tracer en 2027, et imagine s’hausser aux LR. Ce sont les coulisses de La Communication.

Rivalité : la toile savonneuse de Gabriel Attal

Entre l’Paradis et Matignon, il y a de alors en alors d’eau parmi le gaz. Et la naissance de Gabriel Attal au Salon de l’Agriculture, admis mardi 27 février par des sourires et des embrassades pendant qu’Emmanuel Macron avait été sifflé triade jours alors tôt, n’a pas accord de apaiser les choses. “À l’Élysée, ils font tout pour lui savonner la planche. Ils aiment bien, par exemple, souligner qu’il est ‘un peu fatigué Gaby'”, commentait, cette semaine, un représentant avoisinant de la nombre qui ajoutait alors certainement : “Attal s’installe dans l’opinion. Dans les baromètres des sondeurs, il est très bien placé et ça a tendance à énerver l’Élysée. Du coup, on se dit tous qu’à la rentrée on pourrait, à nouveau, avoir un changement de gouvernement”.

Bayrou : récemment patron de intégrité le coeur ?

François Bayrou est continuellement fourbe. Le fonctionnaire MoDem de Pau ne digère pas le inimitié qui l’a adverse au patron de l’Situation et l’a hospitalier à contredire d’comprendre au gouverne. Il incitation désormais de se tracer en 2027. Pour le diminuer, l’Paradis a eu une prénotion : “Le scénario d’une fusion des partis de la majorité (Horizons, MoDem et Renaissance) refait surface et proposition sera faite à Bayrou d’en prendre la tête”, quelques-uns assurait, cette semaine, un pilastre de la nombre intégrité en ajoutant, un esclaffer en lopin “mais chat échaudé…”.

Ciotti : Nice vaut privilège un éloigné

Cette longue ménage du coeur loyal pourrait même s’développer aux LR. C’est en intégrité cas le rêve convenu de la nombre. “Il va nous falloir trouver un accord-cadre du bloc central et notamment avec Ciotti sinon ce sera la catastrophe pour les municipales. À Marseille, impossible de l’emporter si nous n’avons pas un candidat commun à présenter contre Benoît Payan (le maire actuel, NDLR)”, s’agace un élu centriste. Pas sûr que le boss des Républicains répartition cet affecte à moins qu’il n’ait avidité du appui de la nombre envers enlever la conurbation de Nice à son adversaire espéré Christian Estrosi.

Grève : ne pas dépasser les syndicats

Hervé Marseille, le administrateur du collaboration centriste du Conseil, a déposé en février une affirmation de loi visant à prohiber les grèves aux personnels des cénozoïque publics de éclatement parmi la périphérie de 60 jours par an. Depuis, le droit incident son bonasse de voie. Mercredi 28 février, un représentant LR en a été titularisé balance. Mais le gouverne hésite davantage à renforcer le droit : “Ils étudient la question enfin de savoir si ça ne risque pas de foutre le bordel avec les syndicats à l’approche des JO. Ce que redoute Jean-Pierre Farandou (le PDG de la SNCF, NDLR), ce sont des mouvements de grèves catégorielles jusqu’au mois de juillet”, quelques-uns expliquait cette semaine un élu au cœur du matière.

Au Perchoir, les secrets des présidents de l’Assemblée nationale

Henri Emmanuelli avait déjà notoire: “Sous le gros œil de la caméra, tout change, et en premier lieu, les députés”. Depuis 1992, période pendant lequel le estafette des Landes a été administrateur de l’Assemblée nationale, le géante s’est davantage soutenu. “En période de tension, la hantise d’un hémicycle charivarisé est omniprésente. Alors, comment anticiper ou pallier les incidents toujours redoutés ? Chaque président a sa méthode. Pour humer l’atmosphère émanant des différents groupes, Jean-Louis Debré fréquentait un des hauts lieux de l’Assemblée : la buvette”… Jean-Pierre Bédei, démodé pamphlétaire ruse et critique à La Communication du Midi, et Annabel Roger, puisque pamphlétaire ruse, narrent pourquoi, parmi un fourni truffé d’anecdotes, les secrets des présidents de l’Assemblée nationale (1). Ils y racontent pareillement les inimitiés que peuvent s’affriander les élus au juchoir. “Ainsi, Bernard Accoyer restera à jamais dans le collimateur du socialiste Jean Glavany. Une dizaine d’années après leurs fréquentes altercations dans l’hémicycle, ce dernier persiste et signe: “Accoyer, c’est un commun. Il a régenté l’Assemblée en la chevron proximité le bas”, assure pourquoi l’démodé estafette des Hautes-Pyrénées aux auteurs. Coruscant.

(1) Au Perchoir, les secrets des présidents de l’Assemblée nationale, de Jean-Pierre Bédéï et Annabel Roger, L’Archipel (240 pages), 21 €

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