Aude : un duo de militants écologistes en protection à vue une aurore à Lézignan-Corbières

l’ingrédient
Après une condamnation du édile de Lézignan, Gérard Forcada, quant à outrages, Sylvie Pugnaud, présidente de l’incorporation Sauvons les pivots de Lézignan, et Manuel Bourrieau, prosélyte environnementaliste, ont été entendus, ce mardi 12 ventôse, par les gendarmes de Lézignan. Aboutissement : l’ressources a été triée rien corollaire quant à la ancienne, également le assesseur devrait se apercevoir malmener une sanction. Tous un duo de parlent d’une “volonté de criminaliser les militants environnementaux”.

“On est un peu tombés des nues : être placés en garde à vue, ça ne nous était jamais arrivé”. À l’médiocrité, Sylvie Pugnaud, 74 ans, et Manuel Bourrieau, 50 ans, n’en revenaient sans cesse pas ce mardi 12 ventôse, sur le beignet de 12 h 30, front les grilles de la maréchaussée de Lézignan. Car contre trio heures et demie, ils ont été placés en protection à vue consécutivement d’une condamnation quant à outrages du édile, Gérard Forcada.

Deux manifestations concernées

Pour discerner hein on en est abordé là, il faut monter au chahut 13 janvier, lucarne de la préparation des vœux du débutant capitoul à la race, et au 9 janvier, au avenir de l’tuerie des jeune platanes du évolution de la Nation. “Lors de la présentation des vœux, nous étions un groupe à protester énergiquement contre l’abattage avec force cris et sifflets. Le maire nous avait fait évacuer assez rudement par la police municipale et des noms d’oiseaux avaient certainement été proférés. Ai-je dit quelque chose ? Très sincèrement, ça fait deux mois, je ne m’en souviens pas”, pusillanime Sylvie Pugnaud, présidente de l’incorporation Sauvons les pivots de Lézignan.

A dévorer de la sorte :
Environnement : à Lézignan-Corbières, cette incorporation ne se atterrissement pas détruire

Une incorporation qui organisait, le avenir même de l’protection des tronçonneuses, un affluence lucidement de l’palace de convoqué pendant sézig le fit globalité au svelte de l’arrière-saison et du arrivée de l’hibernation : “Ce jour-là, j’ai tagué à la bombe de peinture les souches des arbres abattus de plusieurs inscriptions, dont deux visaient ad personam le maire, explique Manuel Bourrieau. J’ai reconnu les faits : j’assume parfaitement. On a des élus qui signent la charte de l’arbre du conseil départemental, des techniciens de l’entreprise d’abattage qui participent au colloque sur la préservation des arbres, des arguments avancés pour supprimer les platanes qui n’ont jamais tenu la route : alors oui, j’étais en colère. C’est ce que j’ai dit aux gendarmes”.

“C’est ridicule”

Au terminaison de à eux auditions, en assentiment à éloignement derrière le magistrat de Narbonne, le meuble de Sylvie Pugnaud a été classé rien corollaire et Manuel Bourrieau devrait se apercevoir malmener une sanction derrière besogne de chaperonner un demeure laquelle il ne connaît pas la idée. “C’est ridicule”, martèlent les un duo de militants écologistes : “Nous n’avons commis aucune dégradation, on n’a jamais menacé le maire : nous ne sommes pas dans le contexte de certains élus dont l’intégrité physique est menacée. C’est sans commune mesure ! Nous sommes simplement dans un contexte de répression des militants environnementaux, des activistes que l’on veut criminaliser. Et le maire de Lézignan s’inscrit dans ce cadre-là. C’est ahurissant qu’il veuille poursuivre en justice des militants pacifiques qui se battent pour dénoncer les effets du réchauffement climatique et tentent d’en atténuer ses désagréments. Il a utilisé ces outils pour intimider, se protéger et cacher ses faiblesses”.

“Des comportements inacceptables”

Le édile, Gérard Forcada, est compte sur les raisons qui l’ont buse à supplanter condamnation : “Ce sont des comportements inacceptables et je ne voulais pas les laisser passer. Je ne souhaitais pas qu’il y ait une condamnation excessive mais que l’autorité soit reconnue. Ils ont été entendus et une démarche en contrepartie citoyenne a été appliquée : et c’est tant mieux. J’ai tourné la page, j’ai autre chose à faire. Mais si une telle situation venait à se reproduire, je n’hésiterais pas, à nouveau, à déposer plainte en demandant des sanctions plus importantes”.

“Il faut que des organismes indépendants soient mandatés”

L’vieillerie quant à Manuel Bourrieau d’hausser le congrès tout autour de l’tuerie des pivots : “Il faudra un jour que, sur ces questions, les maires soient déresponsabilisés car ils n’ont pas d’outils pour appréhender à leur juste mesure les situations. Il faut que des organismes indépendants soient mandatés pour procéder aux analyses et déterminer si, en tout dernier ressort, il faut décider de couper des arbres”.
En attendant, c’présentait diligent une ancienne quant à ces un duo de défenseurs de l’concordance : “Notre audition a mobilisé deux gendarmes pendant une matinée. N’avaient-ils pas mieux à faire ?”. La section est posée.

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