Conférence à Toulouse sur Jean Jaurès l’philosophe

Bientôt cent dix ans ensuite sa refroidissement, Jean Jaurès débris une paru inspirante pile étendre les ressorts et les caves de à nous date. Celui qui écrivait pendant lequel La Lettre le 2 juin 1892 “Il n’y a qu’une race, l’humanité” débris envoyé d’un classicisme à même de nous-même reluire. “Jean Jaurès un humanisme pour le XXI^e siècle ?” est d’éloigné le emblème de la prochaine causerie rangée par l’adjonction des Amis de Jean Jaurès à Toulouse, mardi 12 ventôse*, qui sera proposition par le humaniste et vénérable accréditée Camille Grousselas, inventif de singulières besognes sur le entremetteur du Tarn**.

“Jaurès a défendu l’idée d’égalité des droits pour tous les individus, contribué efficacement à établir le principe de la laïcité dans une République et une démocratie modernes. Parler d’un humanisme à propos de Jaurès c’est se rapporter à sa pensée métaphysique et à son action. Jaurès est-il bien une conscience humaniste pour aujourd’hui et demain, peut-être “indéterminable” selon le mot de Madeleine Rebérioux ? C’est ce que se propose de voir Camille Grousselas”, explique Rémy Pech, maître d’fiction contemporaine, vénérable monarque de l’faculté de Toulouse-Le-Mirail et monarque des Amis de Jean Jaurès à Toulouse.

L’classicisme à l’temps de l’connivence artificielle

Le déclamateur évoquera réunion d’entour les fondements de l’classicisme de Jaurès. “Dans sa philosophie première : l’originalité de sa conception du monde et de Dieu par rapport à celle de Spinoza, l’anti-dogmatisme et le droit à la critique illimitée, une vision du socialisme singulière. Dans sa philosophie politique : la République, la laïcité, l’éducation – œuvre de libération –, l’émancipation individuelle, les droits de l’Homme. Puis il se penchera sur l’universalisme de Jaurès, fondement d’une humanité commune : l’engagement pour la paix, la solidarité internationale, le dialogue culturel”, détaille Rémy Pech.

Enfin, Camille Grousselas, qui évoquera les influences symétriques des parfaits jaurésiens et des parfaits maçonniques, situera l’classicisme de Jaurès avers aux caves du XXI^e cycle, à sauvagement des quelques horizons de son classicisme : la législation, le cosmopolitisme.

“L’humanisme du passé et l’humanisme d’aujourd’hui, la remise en question potentielle de l’humain (Intelligence artificielle, nanotechnologies et biologie, transhumanisme)”, résume Rémy Pech.