Guerre en Ukraine : acheminement de troupes, éclairé atomique, Poutine… ce qu’il faut clôturer de l’tête-à-tête d’Emmanuel Macron

Au postérité de l’emprunt de l’unisson de sûreté pile l’Ukraine par l”Assemblée nationale et le Assemblée, Emmanuel Macron vivait l’invité des JT de TF1 et de France 2 ce jeudi 14 ventôse. On toi-même résume l’basique de ses déclarations. 

Le Président Emmanuel Macron a répondu aux questions d’Anne-Sophie Lapix et de Gillets Bouleau sur TF1 et France 2 ce jeudi 14 ventôse, relativement la rivalité en Ukraine.

Un peu alors de une paire de ans ultérieurement le arrivée de l’effraction russe en Ukraine, et au postérité de la monogramme d’un unisson de sûreté convaincu Paris et Kiev, Emmanuel Macron a réaffirmé le contrefort de la France à l’Ukraine, et mis en attaché en échange de les conséquences d’une assujettissement de la Russie. 

Envoi de troupes

Le entraîneur de l’Etat a tenté de entraver ses déclarations polémiques des dernières semaines sur l’acheminement de troupes française ou occidentale sur le sol ukrainien. S’il célébrité qu'”on n’est pas dans cette situation-là aujourd’hui”, Emmanuel Macron a cependant affirmé prématurément “ne rien exclure”.

“Nous avons mis trop de limites dans notre vocabulaire”, a-t-il dit, notant que les Européens ont par prototype affirmé par le passé qu’ils n’enverraient pas de chars à Kyiv, préalablement de se contester et de révéler ces équipements.  “Face à l’escalade” de Moscou, “nous devons dire que nous sommes prêts à répondre”, a-t-il affirmé, en contraignant cependant sur le anecdote que la France ne prendrait “jamais” l’imagination de foncer la Russie. 

Un “sursaut” apparence à une “menace existentielle”

Emmanuel Macron a spontané qu’il fallait ne pas “être faible” pile bien la repos en Ukraine, qualifiant la rivalité de “menace existentielle” pile l’Europe en compagnie de le courage qu’une assujettissement de la Russie prive le tempérant de sûreté et “change” la vie des Français.

“Si la Russie gagne cette guerre, la crédibilité de l’Europe sera réduite à zéro”, a-t-il éveillé. “La vie des Français changerait. Nous n’aurions plus de sécurité en Europe. La sécurité des Français se joue là-bas”.

“Qui peut penser une seule seconde que le président Poutine qui n’a respecté aucun de ses engagements s’arrêtera là ?”, a-t-il supplétif, en épreuve aux assurances répétées de la Russie préalablement le parution de son violente en Ukraine le 22 février 2022.

Le responsable métropolitain a noté que la “contre-offensive ukrainienne (lancée l’an dernier) ne s’est pas passée comme attendu”. “Ces dernières semaines, la situation est difficile pour les Ukrainiens”, a-t-il supplétif, notant les “limites” de Kiev est méthodiste que “ce début d’année 2024 doit être pour nous celui du sursaut”

Poutine et la éclairé atomique

Interrogé sur le responsable russe à la garde du arrivée de l’nomination présidentielle qui arrivée ce vendredi 15 ventôse jusqu’à dimanche 17, Emmanuel Macron l’a décrit plus “pris dans une dérive personnelle, répressive et autoritaire dans son pays”. Le entraîneur du Kremlin a “fait le choix d’être une puissance de déstabilisation en Europe et dans le monde”, châle le Président de la Convoqué. 

Emmanuel Macron a désapprouvé les récents plaidoirie de Vladimir Poutine favorable l’Occident que la Russie vivait techniquement fourni à une rivalité atomique. Brandir cette éclairé, “ce n’est pas approprié quand on a l’arme nucléaire”, a-t-il dit. La France est le spécial concitoyen de l’Union occidentale équipé de la ventru minuscule. “Le nucléaire n’est pas un instrument de déstabilisation ou de menace, c’est un instrument de sécurité“, a spontané le responsable métropolitain.

Financement du contrefort à Kiev sur des emprunts

Emmanuel Macron a également scandé que la fraîcheur des Européens là-dedans l’proche allait à la aide accélérée de munitions lequel l’Ukraine loupage férocement apparence à la Russie. Le entraîneur de l’Etat n’exclut pas un inattendu excitation aux emprunts pile verser le contrefort à Kiev “si les besoins devaient être plus importants”. 

Pour citation, remplaçant les termes de l’unisson réciproque signé convaincu Paris en Kiev, la France prévoit de adjuger “jusqu’à 3 milliards d’euros de soutien supplémentaire” à l’Ukraine en 2024. 

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