JO de Paris 2024 : “On peut tomber malade quinze jours plus tard…” craint une gagnante olympique à pic de l’bilan de la Seine

l’caractéristique
Championne olympique sur 10 kilomètres eau émancipé tandis des Jeux olympiques de Tokyo, la Brésilienne Ana Marcela Cunha a confié ses craintes relativement à la vêtement des dettes de brasse épreuve comme la Seine, appelant à l’conception d’un “plan B”.

Emmanuel Macron a impétrant qu’il se baignera logement, purement la Seine codicille interminablement l’un des sujets de obsession des organisateurs, purement pour des athlètes. Même la Brésilienne Ana Marcela Cunha, gagnante olympique en emblème de brasse en eau émancipé, a acte tronçon de son effroi, demandant l’conception d’un “plan B au cas où cela ne serait pas possible de nager” comme la Seine.

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“Il ne s’agit pas d’effacer l’histoire de la Seine, nous savons ce que représente le pont Alexandre-III, la tour Eiffel, mais je pense que la santé des athlètes doit passer avant”, a-t-elle cordial endroit de aider à une affluence au Brésil. La médaillée d’or sur le 10km émancipé a personnifié une “préoccupation” pile sézigue et soulignant qu’il n’y avait pas eu “d’événement-test l’an dernier” et que les organisateurs “insistent à vouloir que les épreuves aient lieu là-bas”.

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Alors que touchant d’1,5 milliard d’euros a été placé ces dernières années aussi que la Seine et la Marne soient baignables, les résultats des analyses restent mitigés et auraient établi la soin de un duo de bactéries indicatrices de avilissement fécale l’été terminal.  “Le jour de la compétition, il n’y a pas grand-chose à faire (…). Mais, après, une fois sorti de l’eau, on peut tomber malade quinze jours plus tard. Au moment de la compétition, on n’y pense pas, on s’inquiète après”, a-t-elle poursuivi, généralité en évoquant l’figure environnemental et la impureté. La Brésilienne a scandé “un problème d’infrastructures”, déclarant que “la Seine n’est pas faite pour nager”. Les dettes de brasse se dérouleront les 8 et 9 août.

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