“J’y pense, je consulte, je réfléchis” : Didier Codorniou quémandeur à la gouvernement de la Alliance française de rugby ?

Interrogé par Midi Libre sur les varié caves maritimes, Didier Codorniou, Premier vice-président de la commune, responsable du assemblée de la mer et substitut de Gruissan, a pour répondu aux questions au sujet de son aventure en affinité pour le rugby. 

Ces derniers heure, “Le Petit Prince” (31 sélections pour le XV de France convaincu 1979 et 1985) anecdote jacasser de lui. Son nom passeport relativement à une facultative sollicitation à la gouvernement de la Alliance française de rugby, lesquels les prochaines élections auront emplacement à l’arrière-saison voisin. Il pourrait personnalité un combattant à Florian Grill, responsable en situation depuis juin 2023 et le repli de Bernard Laporte. Selon Le Parisien, lui-même serait au ossature de “Codor”.

“J’y pense, je suis en pleine réflexion, je consulte, je réfléchis et je prends le temps pour ne pas tout mélanger, avant de prendre ma décision. Pour cela, j’ai besoin de bien comprendre les enjeux. Je suis passionné par le rugby, c’est ma culture, ma vie, j’ai toujours été bercé par ce sport. Mon expérience professionnelle, politique, ma connaissance du rugby me permettent de pouvoir penser à me projeter. Mais pour l’instant ce n’est pas d’actualité. À la fédération, je suis dans la commission des anciens internationaux et je prends beaucoup de plaisir”, glisse-t-il.

Une cible chez énormément d’distinctes

Mais au cas où ensemble se déclencherait, renoncerait-il à ses cartes blanches ?

“Tout est compatible, je suis en capacité de mener plusieurs responsabilités, ce que je fais aujourd’hui. Je suis Premier vice-président de la Région, président du Parlement de la mer, maire de Gruissan. Le rythme est effréné, mais ça correspond à mon tempérament et il y a toujours une temporalité. Ce qui est important sur tous ces sujets, ce sont les équipes qui m’accompagnent, j’ai toujours joué collectif dans tout ce que j’entreprends”, explique “Codor”, primitive illustration narbonnaise convaincu 1973 et 1986 singulièrement.

“Cette réflexion est donc aussi collective”, répond-il. “Il y a des priorités : mener mes mandats à terme avec une obligation d’accompagnements et de résultats en ce qui concerne mon poste de vice-président auprès de Carole Delga. Et puis il y a la priorité locale, ma commune, Gruissan, depuis 22 ans que je suis maire. J’ai 66 ans, en pleine forme physiquement. Sur Gruissan, je me prépare à accompagner mon équipe pour les prochaines élections.”