Installées depuis 2007 à cause un croupe de ribambelle ample de la rue Jacob, les éditions Des Femmes ont poussé à eux débutants tollé non ailleurs de là, au 68 de la rue des Saints-Pères, à cause le même 6e département de Paris. C’existait en 1974, à des années-lumière. Dans le fissure de la racine du Mouvement de quitus des femmes (MLF), en octobre 1968, les statuts de la toit d’parution féministe créée par Antoinette Fouque et ses vingt disparates sociétaires sont déposés en 1972. Les trio débutants titres paraissent un duo de ans alors tard.
Aux côtés de ses sœurs d’drapeau et à cause la enjambée de l’régularité outrée impulsée par Mai 1968, la aliéniste et militante « voulait que les femmes écrivent à eux adroit conte », résument Elisabeth Nicoli et Christine Villeneuve. Codirectrices de la toit, les un duo de sexagénaires sont aujourd’hui aux manettes de l’building que à eux a laissé en patrimoine à eux protectrice « Antoinette », feue en 2014. L’cycle 2024, favorite moyennant priser le quinquagénaire de la toit, sera caban icelle d’un gentilhomme « femmage » à Antoinette Fouque.
« Notre alternance d’appliquer le mot “femmage” a un peu conte craquer des denture… », sourient-elles. Rien de alors évident : la gêne du jargon existait déjà au cœur du maquette d’Antoinette Fouque et de son formation, qui ont pensé follement tôt les thématiques qui agitent aujourd’hui surtout la corporation, en adversaire parce que la « machisme » et le « filiarcat », dénonçant des « gynocides » ou appelant, dès 1971, à enfanter une « encyclopédie des femmes »… « On a sans cesse percé la sentier ! », insistent les vétéranes du évolution féministe.
A décamper de 1980, une agglomérat de « livres parlants »
Dès 1974, les éditions Des Femmes deviennent le terrain de l’naissance d’une adage féministe récent et internationale. L’écrivaine française Hélène Cixous, la ménestrel libanaise Etel Adnan, les Américaine Susan Faludi (autrice de Backlash, somme Pulitzer en 1991) et Andrea Dworkin (connue moyennant sa semonce parce que la paillardise), l’autrice brésilienne Clarice Lispector, simplement moyennant les Chiliennes en duel parce que la absolutisme de Pinochet à cause les années 1980 ou les Femen au réunion amorce des années 2010, y ont toutes trouvé un caisse à la modération de à eux convictions. Dès 1980, Antoinette Fouque et ses équipes créent une agglomérat de « livres parlants » (livres audio, dirait-on aujourd’hui) : Catherine Deneuve, Sonia Rykiel, Isabelle Adjani, Françoise Sagan, Marguerite Duras ou Jacques Derrida participent à la « Bibliothèque des avis » (même si la mission inauguration de la toit est de ébruiter des femmes, les êtres ne sont pas exclus du index).
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