La assertion de loi visant à gêner la “fast fashion” a été adoptée à l’accord, jeudi, en lauréate savoir à l’Assemblée nationale. Parmi les mesures prévues, l’destitution de la présentation et un “malus” environnemental renforcé. Le ambassadeur de la Transition biotique a salué un libellé qui fera de la France ” le premier pays au monde à légiférer pour limiter les dérives de l’ultra fast-fashion”.
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Coup de paralysie contre la “fast fashion” en France. L’Assemblée nationale a voté, jeudi 15 germinal, à l’accord des mesures visant à punir ce ville de l’aciérie vestimentaire, plus une destitution de la présentation contre la soldes de vêtements à nomination cassés pleuvant le marché et un “malus” environnemental renforcé contre les indemniser moins attractifs.
La assertion de loi, adoptée en lauréate savoir, devra désormais individu examinée par le Curie. Elle émane du rapprochement Horizons, l’une des triade composantes de la manumission présidentielle, là-dedans le acclimaté de sa jour modérée au Palais Bourbon.
Malgré des réclamation, elle-même a décharge le étai de complets les origines de l’gradins. Ce libellé fera de la France “le leader race au monde à prescrire contre borner les dérives de l’ultra fast-fashion“, a salué là-dedans l’gradins le ambassadeur de la Transition biotique, Christophe Béchu.
Dans un ambiance de affaissement du emprise d’prise, la satisfaction du marché par des vêtements peu dispendieux, régulièrement renouvelés et lourdement importés, a perturbé le ville, où les fermetures de magasins et les redressements judiciaires se multiplient.
Mais c’est l’détour environnemental que met en façade le libellé porté par la députée Horizons Anne-Cécile Violland : “L’industrie textile est la plus polluante, elle représente 10 % des émissions de gaz à effet de serre”, a-t-elle appuyé, mentionnant donc la infection des sources.
Avec, là-dedans le oeilleton, des oeuvres de début soutenue poussées à à eux exacerbation par l’fabuleux manufacture asiatique Shein et ses “7 200 nouveaux modèles de vêtements par jour” en norme.
À tourmenter doncBonus-malus parce que la “fast fashion”, assertion de loi écolo ou “anti-pauvres” ?
Jusqu’à dix euros par portée
La assertion de loi regarde une volonté de la “fast fashion”, plus des critères basés sur les volumes produits et la hâte de révolution des collections. Mais elle-même renvoie à des décrets contre affermir des seuils chiffrés.
Les affaires visées auraient l’dette de sensibiliser les consommateurs “à l’impact environnemental” de à eux produits.
La analogie responsable est le augmentation du logique de “bonus-malus” là-dedans le ville tissu, contre richesse facturé des “coûts environnementaux” d’une début exorbitante. La agrément serait liée à “l’affichage environnemental” des produits, une renseignement comportement de note des produits devanture individu uniforme en œuvre.
Son aïeul, à affermir par programme, pourrait aborder régulièrement jusqu’à 10 euros par portée en 2030, plus un coupole de 50 % du nomination de soldes. Un adjonction a combiné des lignes contre aborder ces 10 euros, spécialement un leader à 5 euros en 2025.
“Il ne s’agit pas d’une taxe”, a insisté Anne-Cécile Violland, les contributions devanture individu redistribuées en obole des producteurs de vêtements durables, là-dedans l’impartial que à eux nomination baissent.
Merci Monsieur le ambassadeur @ChristopheBechu contre votre étai à cette assertion et encore votre outrecuidance et votre enthousiasme machiavélisme.
Ensemble parce que l’ultra fast-fashion.
La règle instantané, la règle liquidable. https://t.co/aVfc3wn54j— Anne-Cécile Violland (@AnneCecileVio) March 15, 2024
La transe de distinguer l’avarice du libellé réduite par Bercy
L’autre analogie sunlight est l'”interdiction de la publicité pour les produits et entreprises” levant de la volonté de la “fast fashion”, coutumières d’un mercatique combatif. Cette habileté subsistait intensive par complets les origines, survivant Les Républicains (LR). “Si vous interdisez la publicité sur le textile, en particulier la mode, vous n’avez plus de mode”, a estimé le porteur LR Antoine Vermorel-Marques.
Insoumis, écologistes et socialistes ont plaidé inutilement contre affermir des pénalités minimales et des quotas d’introduction. Ainsi que contre commander des critères de extase des latitudes sociaux là-dedans l’aciérie tissu. Ils ont donc échoué à agissant former là-dedans la loi les seuils chiffrés amenant la “mode express”, puisque le demandait donc LR.
“Le diable est dans les décrets”, s’est inquiétée la députée LFI Alma Dufour, craignant que le fonction de l’Trésor ne réduise l’avarice du libellé par la allée formaliste. Elle a, mutuellement, salué un adjonction ministériel permettant d’niveler les plateformes de soldes en garniture (“marketplace”).
La conspiration d’ONG “Stop Fast Fashion” avait nommé les parlementaires à soupçonner des seuils permettant de “ne pas pénaliser uniquement Shein ou Temu”, estimant que “des marques comme Zara, Primark, H&M ou Action” doivent donc individu visées.
Pour Shein, ce libellé “pénalise de manière disproportionnée les consommateurs les plus attentifs aux coûts”. Selon une représentant, le rassemblement de références “n’est pas un indicateur pertinent” contre annoncer la “fast fashion”, de préférence liée escortant la énergique à l’excellence des invendus.
L’Alliance du Commerce, qui fédère des grands magasins, a elle-même clair des réclamation sur le conte de édifier le “malus” sur “l’affichage environnemental”. Son responsable total, Yohann Petiot, a dit arrêter que le libellé “rate sa cible” en impactant des affaires nationales de préférence que “l’ultra fast fashion”.
Avec AFP
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