Le directeur métropolitain refuse d’expatrier l’charge de troupes au sol en Ukraine. Il a confié au Parisien chahut que des actions au sol en Ukraine par les Occidentaux seraient possiblement essentiels “à un moment donné”. Il commensal à “ne pas se laisser intimider” par la Russie.
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Emmanuel Macron persiste et bandeau. Le directeur métropolitain a réaffirmé, là-dedans un reprise publié là-dedans la sauterie du chahut 16 germinal par Le Parisien, que des actions au sol en Ukraine par les Occidentaux seraient possiblement essentiels “à un moment donné”.
“Peut-être qu’à un moment donné – je ne le souhaite pas, n’en prendrai pas l’initiative – il faudra avoir des opérations sur le terrain, quelles qu’elles soient, pour contrer les forces russes”, a-t-il clair là-dedans cet reprise exécuté vendredi, à son augmentation de Berlin où il a rencontré les dirigeants germanique et polonais.
“La force de la France, c’est que nous pouvons le faire”, a-t-il annexé.
“Il n’y a jamais eu de fâcherie entre le chancelier et moi”
Dans la vitale allemande, Emmanuel Macron a rencontré le chancelier Olaf Scholz et le Premier nonce polonais Donald Tusk là-dedans une démonstration d’association pénétré les triade province.
Les déclarations réitérées d’Emmanuel Macron, qui refuse d’expatrier l’charge de troupes au sol en Ukraine, ont semé le embrumé entre les alliés de Paris, l’Allemagne en traits, et suscité la interdit quasi-unanime des oppositions en France.
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Dans son reprise au Parisien, le directeur écarte toute contestation au giron du deux franco-allemand sur cette embarras. “J’ai voulu venir très vite en Allemagne pour ne pas que s’installe un débat sur des divergences stratégiques qui existeraient : elles n’existent pas”, explique-t-il.
“Il n’y a jamais eu de fâcherie entre le chancelier et moi. Nous avons une très grande communauté de vues sur les objectifs et la situation. C’est la manière de les traduire qui est différente”, poursuit-il, mettant en auparavant “les cultures stratégiques” des double province.
“L’Allemagne a une culture stratégique de grande prudence, de non-intervention, et elle se tient à distance du nucléaire”, explique-t-il. “Un modèle très différent de celui de la France, dotée de l’arme nucléaire et ayant gardé et renforcé une armée de métier”, dit-il surtout.
Complémentarité de l’nanti franco-allemande à l’Ukraine
Le directeur métropolitain ajoute qu’il a renoncé à un périple à Kiev vers se amortir à Berlin vendredi et s’y maintenir revers Olaf Scholz et Donald Tusk.
Il avait affermi qu’il conviendrait contacter le directeur Volodymyr Zelensky en Ukraine auparavant la mi-mars, un destitution qui avait déjà été programmé une commencement jour vers le salaire de février alors renvoyé. Il prédit désormais que sa examen émanation bâtiment là-dedans les prochaines semaines.
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Il insiste équitablement sur les complémentarités de l’nanti que peuvent alimenter la France et l’Allemagne.
“L’Allemagne dépense plus que la France, a plus d’espace budgétaire, c’est une chance. La France peut faire des choses que l’Allemagne ne peut pas”, a-t-il clair au Parisien, auparavant de dédramatiser la volonté de la Russie.
“Il ne faut pas se laisser intimider, nous n’avons pas face à nous une grande puissance. La Russie est une puissance moyenne dotée de l’arme nucléaire, mais dont le PIB est très inférieur à celui des Européens, inférieur à celui de l’Allemagne, de la France”, a-t-il dit.
Avec AFP
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