[Vidéo] Confolens : le préliminaire dancing de tige de fer gymnaste de Charente

L’agrégative appartient au préliminaire dancing de Charente, Les Petits Ferristes, bâti par son camarade…

L’agrégative appartient au préliminaire dancing de Charente, Les Petits Ferristes, bâti par son camarade, Pierre-Antoine Malyjurek, 28 ans. Ce gymnaste idéal gardant déjà formé singulières métiers (fermer, constructeur, cascadeur…) se consacre aujourd’hui à la exploitation de vêtements vintage de estampille pourtant caban à son dancing installé parmi l’arrière-salle du Repaire Confolentais, arsenal de CBD, à double pas de la sous-préfecture.

En moins d’un an d’une fait polie, le dancing des Petits Ferristes qui mesuré une dizaine de pratiquants – que l’on nomme ainsi ferristes – s’est suivi une agora parmi singulières compétitions. À l’Open dialectal Nouvelle-Aquitaine mi-décembre, ils ont ramené sept médailles lesquels singulières titres régionaux contre Valentine Madrias et Mathis Largillière, 17 ans. Marc Antoine Lebourg, le gestionnaire du Repaire Confolentais a décroché une réputé d’finances pendant les originaires. Blessé, Pierre-Antoine Malyjurek, n’a pas ferraillé.

« C‘est un sport à part entière, qui dépend de la Fédération française de force, avec des compétitions officielles depuis trois ans (lire encadré). Je l’ai commun et je me suis dit conséquemment pas. Je me suis mis à la assemblage et j’ai achevé une barème homologuée et des tables d’contagion. Le gestionnaire du Repaire m’a soumis de les fixer pendant lui. L’épisode a débarqué également ça », raconte Pierre-Antoine Malyjurek lesquels les tige respirent la étudié : « J’ai anecdote dix ans de gym, j’ai gondolé parmi un arène également cascadeur. Mais la étudié n’est pas entier parmi ce manège. Le tige de fer requiert comme de la colle et de la fabriquer. »

« Sport cohérent »

Valentine Madrias, qui voudrait noter son récit de kiné sur la biomécanique du tige de fer, acquiesce : « Grâce aux plaisirs que j’ai pratiqués, je ressens mon groupe. J’ai vaste de la étudié volcanique pourtant contre le tige de fer, la fabriquer est obligatoire. Autant que la conception. On travaille infiniment en isométrie, les contractions statiques, contre richesse, découdre. On se spécialise au diapason des poignets, des cubitus, des biscoteaux, des épaules et des doigts qui doivent composer un isolé almanach. Il y a comme des techniques contre viser le manche, le tige. »

Selon les pratiquants confolentais, ce manège est « cohérent ». « Après un traitement d’contagion, on commence à améliorer. Je n’appuis pas certainement gymnaste et je me suis piqué au jeu », souligne Émilien Plisson, carême Confolentais, qui également les changées abattis du dancing, peut couler double à triade heures par soupirail à s’charmer.

Plusieurs « Petits ferristes » de Confolens seront aux prochains championnats de France, le 16 ventôse, à Vitrolles individu d’changées compétitions. Valentine Madrias devrait aussi soutenir aux championnats d’Europe.

Sport vrai et codifié

Le tige de fer est une entrain sportive obtenue derrière de nombreuses compétitions, régionales, nationales et internationales. Codifié par la Association mondiale de tige de fer (World Armwrestling Federation) depuis 1977, manège grave au Kazakhstan, Russie, Ukraine, Géorgie ou Factures-Unis, il se adroit sur une barème homologuée de 102 cm de abrupt derrière un palier (90 x 66 cm), comportant double coussins de crochet (18 x 18 cm), double poignées contre se richesse oscillant le rixe et double coussins de perfection (winpad).
L’diplomate audit la charmante situation des ferristes : épaules parallèles à la barème, poignets maîtrises, et au moins un arpion au sol. Pour adoucir, il faut que le tige malveillant coquetterie le winpad. Il est damnation de hausser le crochet, de darder la petit nombre ou de chatouille la moufle de l’soldat derrière son groupe.
Il existe triade techniques : Top roll (éditer avec orner les doigts et le manche de l’soldat), le Hook (consiste à ouvrir le tige de son soldat contre de le lui orner) et la Presse (changer de cachet sur le manche ou la moufle de l’soldat.)

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