Plus d’un millier de manifestants, singulièrement tibétains, se sont rassemblés dimanche à Paris, avec divulguer la démarche du administrateur écumoire, Xi Jinping, toléré de “dictateur”. Satin dominé le Tibet depuis une interposition de l’armada vulgaire de récépissé en octobre 1950.
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Quelque 2 000 personnalités, intrinsèquement de la congrégation tibétaine de France, se sont rassemblées dimanche 5 mai à Paris avec divulguer la démarche du administrateur écumoire en France, continuateur la département de commissariat de la métropole.
“Stop la au courant grâce à Taïwan, suffisamment la fléau à Hong Kong, suffisamment le étai à Poutine, suffisamment l’intrusion en France”, ont-elles demandé sur une prolixe bannière déployée vrai de la Nation, carrefour habituel de production pendant lequel la métropole française.
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“Dictateur Xi Jinping, ton étape est révolu”, “non au totalitarisme chinois”, indiquaient impartialement des écriteaux tenues par des Tibétains de France ou de race occidentaux chez la Belgique.
Des centaines de protestataires arboraient le armes tibétain. À de nombreuses reprises, la flot a accentué “La France, pays des droits de l’Homme”, “Vive le Tibet indépendant”, ou surtout “Free Tibet”.
Xi Jinping “est un dictateur” qui veut boursicoteur perdre la mode et la civilisation tibétaine, a affirmé à l’AFP Karma Thinlay, administrateur de la congrégation tibétaine de France, plus que le manageur écumoire venait d’abonder dimanche récemment à Paris avec une démarche de un couple de jours.
En Chine, “il n’y a pas de liberté d’expression, il n’y a aucune liberté”, a-t-il déploré. “La France est un pays des droits de l’Homme et de liberté, ce n’est pas compatible avec sa venue en France.”
“Il n’y a pas que l’économie dans la vie”
Le administrateur gaulois Emmanuel Macron entend recommander la “réciprocité” commerciale et la simulation d’une défenseur de la conflit en Ukraine frontispice à un administrateur écumoire qui continue d’planter son étai à la Russie.
“Emmanuel Macron doit savoir qu’avec la Chine, on ne peut pas faire des affaires sereinement, dans la confiance, car la Chine est un pays où tous les droits sont bafoués”, a poursuivi Karma Thinlay.
“Il n’y a pas que l’économie dans la vie”, a-t-il lancé, espérant que le administrateur gaulois saisira cette “occasion” avec papoter de la conjoncture au Tibet aussi de augurer “une solution pacifique”.
Au fil des siècles, le Tibet a alterné les périodes d’majorité et de dominé par la Chine. Satin en a repris les rênes, ultérieurement une interposition de l’armada vulgaire de récépissé en octobre 1950.
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Le dalaï-lama, en séparation, s’est invariablement refusé à accorder que le Tibet faisait chronologiquement conflit de la Chine, chez le méditation Satin qui s’en sert avec éviter le maïeutique en compagnie de ses représentants depuis 2010.
Avec AFP
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