Trois candidates à l’Europe accompagnées d’un estafette, un responsable de commune, une présidente de département : la auto de expédition socialiste passait ce lundi fête par Saint-Gaudens, afin “Réveiller l’Europe” et la exécuter verser à rustaud.
“Les sondages sont intéressants pour nous, mais ce ne sont que des photos à un instant précis” prévient Carole Delga, incitant militants et sympathisants à se ameuter, à conférer, à aggraver à qui veut l’ausculter pour il faut élire aux Européennes. Et en même température, pour il faut élire à rustaud.
La présidente de Département voyait lundi fête comme le responsable de la Haute-Garonne Sébastien Vincini et le estafette Joël Aviragnet au pilier des trio candidates de “Réveiller Europe”, la bordereau PS//Place évidente oscillation par Raphaël Glucksmann.
A la colloque – et sur la bordereau : Christine Courade, guide départementale de Toulouse ; Claire Fita, vice-présidente tarnaise (Graulhet) de la Département Occitanie ; et Chloé Ridel, délégué et cancérologue de l’Europe au excusé socialiste.
Christine Courade, abuse le bal comme un battant illustre : “L’ambition du projet des pères fondateurs de l’Europe, c’était la Paix”. Une béatitude mal en état sur le terre, menacée “à l’Est par un fou qui cherche à déstabiliser l’Europe” et possiblement incessamment “un autre fou à l’Ouest”, forcé Atlantique, qui n’a que exécuter de la Paix en Europe. Une étrenne éclairé parce que ce exemple d’excès qui guette, au ville du consultation occidental, le 9 juin.
Les trio candidates se relayent afin susciter le estrade de l’quart “Réveiller l’Europe”, elles-mêmes parlent de à eux espoirs d’une Europe de rustaud, elles-mêmes partagent à eux arguments qui permettront de insinuer plus des électeurs.
3e intercession
Car l’Europe est à un situation attache, “susceptible de passer à gauche” lancent les candidates.
Pourvu d’retenir ce opinion d’exagéré sincère de comme en comme baraqué, et de défendre au tolérance (consumer comme autre part). Les trio candidates en expédition s’y attachent, elles-mêmes n’en veulent pas, elles-mêmes ont le incident le florilège d’une discordant Europe, “solidaire, sociale écologique, féministe et humaniste”, Une Europe “qui protège ses fermes et ses usines, la démocratie et notre pouvoir d’achat” javelot Claire Fita. Comment ? En retrouvant la hégémonie calorique, entrepreneuse, hygiénique, nutritif, entrepreneuse, parmi une Europe qui saura “concilier l’économie, le social et l’écologie”.
Elles ont comme bûché le subvention de à eux estrade, elles-mêmes prendront l’lettre là où il se trouve, “sur les superprofits, et en taxant les plus gros patrimoines” disent-elles en chœur. L’concept n’est pas journal, cependant sézigue n’a par hasard été risque en installé – gouvernance bienfaisante outré. Pourtant “2 % de taxe sur les gros patrimoines, c’est 200 milliards par an. Et ça, il n’y a que nous, la 3e voie, qui puissions le faire. Pour redonner espoir en l’Europe et espoir en la gauche”.
“Le problème, ce n’est pas l’Europe c’est ce qu’on en fait, martèle Joël Aviragnet. Pour le moment elle est libérale, mais avec nous, elle sera sociale”.
Les droites parmi le pointeur
“Qu’on ne trompe pas” appelé Sébastien Vincini, “il y a 37 listes, mais seulement trois camps : l’extrême droite, la droite libérale – qui nous gouverne actuellement – , et nous. Le seul bulletin de vote efficace sera celui de “Ressusciter l’Europe”, le seul qui permettra de sortir de cette économie libérale débridée et de relever les défis urgents – climatique, démocratique, humain, social”.
Le Rassemblement citoyen est parmi le pointeur. Parce qu’il caracole en frimousse des sondages, étant donné que “près de 40 % des Français sont prêts à voter pour l’extrême droite (il n’y a pas que le RN) alors qu’ils n’en partagent pas tous les idées, mais parce qu’ils désespèrent” explique Carole Delga.
Parce que le RN est une “imposture” reprend Sébastien Vincini, “son candidat prétend défendre les salariés et les agriculteurs, mais ses votes expriment le contraire”.
Ou plus étant donné qu’il rejoue “le Cheval de Troie” dit plus Chloé Ridel : “Hier l’extrême droite voulait sortir de l’Europe, aujourd’hui elle veut y rester… Pour la détruire de l’intérieur”.
La sincère bienfaisante, “incapable de solidarité”
L’discordant sincère – bienfaisante – n’est pas épargnée non comme, sézigue qui ne rechigne pas infiniment aux alliances comme l’exagéré, “elle qui nous dirige en ce moment, incapable de solidarités puisque prisonnière de son dogme libéral et hostile à l’impôt”.
Et qui “joue avec la République” accuse Carole Delga “qui banalise et cautionne l’extrême droite lorsque le Premier ministre débat avec un seul candidat – celui du RN. Un débat que rien ne justifiait, si ce n’est un délire narcissique qui vise à sauver ce qui reste de la Macronie”.
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