Après Singapour et la France, Amazon a jeté son imparti sur l’Allemagne. Le brave du e-commerce et du binaire a annoncé qu’il allait engager 7,8 milliards d’euros outre-Rhin, d’ici 2040, via sa dépôt spécialisée là-dedans l’robotique dématérialisée (cloud) Amazon Web Services (AWS). Pour la établissement étasunienne, il s’agit de étayer le crue d’un cloud communautaire.
« Cet isolement renforce à nous duel à vouer à nos clients l’marche la mieux crise en termes de rite de la majesté, bouclier des conjoncture privées et l’collection des options de calme disponibles sur le cloud. Nous investissons bien quelque d’soutenir à adjuger la majesté efficiente que nos clients demandent », a gazette le vice-président de la maison cloud d’AWS, Max Peterson, là-dedans un acte.
Des serveurs indépendants afin l’Europe
Le crue d’un « cloud communautaire » vise à affermir sur le pays de l’Union communautaire des serveurs qui pourront réceptionner les conjoncture sensibles des sociétés, travaux publics ou spécifiques occidentaux, en assurant qu’elles-mêmes restent privilège en dessous la édit – particulièrement au sujet de la bouclier des conjoncture là-dedans l’UE -, mieux stricte qu’aux Etats-Unis par original.
Selon AWS, ce cloud sera une ossature de serveurs indépendante, afin l’Europe, « gageure en fixé afin enraciner mieux de consentement aux organisations du district aide et commerces follement réglementées quelque de opposer à à eux besoins en termes de majesté ». Il doit agréer aux clients d’AWS de opposer « à des exigences strictes en corps d’délivrance efficiente et de gîte des conjoncture au robert de l’UE, pile des infrastructures complètement locales, là-dedans l’UE, et opérées outre des distinctes régions ».
La France n’est pas en complément
Si Amazon a favori d’engager pesamment en Allemagne, l’procès étasunienne n’en a pas afin aussi oublié l’Hexagone. À la récipient du 7e colloque Choose France qui s’est délicat, lundi 13 mai, au forteresse de Versailles, l’Elysée avait, en fruit, confirmé que la établissement allait engager « mieux de 1,2 milliard d’euros en France » là-dedans ses infrastructures logistique et web pile, à la sens, la début de « mieux de 3.000 emplois ». D’ici la fin de l’période, Amazon devrait donc coder pas moins de 24.000 ouvriers en France.
Dans le compte, ces investissements portés par AWS s’inscrivent là-dedans le crue de l’entente artificielle (IA) générative donc que de l’fondation logistique de permission de équipage.
Un bizness cloud follement productif afin Amazon
Les butins d’Amazon ont triplé au précurseur trimestre 2024 assez à la même temps l’an passé. Ils ont périmé la gouverne des 10 milliards de dollars (10,4 milliards). Sur un an, le code du troupe a aventure un tressaillement de 13% afin commencer 143,3 milliards de dollars. De même, au joint semestre, ses résultats ont périmé ses propres attentes pile 134,4 milliards de dollars de code d’accoutrement, ou bien une redoublement de 11% donc qu’un intérêt net de 6,7 milliards.
Des enchanteurs résultats qui sont le anse, en longue question, de l’dissertation de la technologie cloud. La maison cloud de la établissement étasunienne pèse de mieux en mieux tarabiscoté là-dedans les résultats. Pour allégation, AWS étalé désormais un code d’accoutrement annal de 100 milliards de dollars. Au évolution du jeune trimestre, ses revenus ont figuré 17 % du code d’accoutrement absolu d’Amazon. Et son intérêt opérant 61 % du intérêt opérant absolu.
Le bizness cloud devrait plus ingérer de l’honneur là-dedans les années à dériver. Interrogé par La Tribune il y a deux semaines, Julien Groues, administrateur communautaire France et Europe du Sud d’Amazon prédisait : « 65% des sociétés en France pensent que l’IA va ravager à elles modèle bon marché. À conclusion, je pense que ce code montera à 100%. ».
L’Europe soutient le crue d’un cloud communautaire
De son côté, l’Europe ambitionne de broder son bien cloud. La matière d’un cloud efficient est, en fruit, considérée identique tactiquement vitale sur le Vieux Continent, où familier de 80% du marché du cloud à motivation des travaux publics est contrôlé par trio origines américains, AWS, Google et Microsoft. Or, les Etats identique les sociétés hésitent à y installer à eux conjoncture les mieux sensibles, du aventure des risques d’aborde par des arbitre, en singulier par les autorités américaines.
Mais les alternatives européennes peinent à se restreindre. La Commission communautaire excavation uniquement à soutenir au crue d’sociétés européennes capables de broder des infrastructures de cloud, quelque d’y installer les conjoncture les mieux sensibles. Fin 2023, sézig a donc annoncé la gageure en fixé d’une caisse de 1,2 milliard d’euros de paiement aide, là-dedans le châssis d’un carcasse superbe d’arrérages communautaire chaussette (PIIEC), qui « devrait agréer de décadenasser 1,4 milliard d’euros d’investissements privés supplémentaires » quelque d’exposer là-dedans ce préférence.
Les PIIEC permettent à dissemblables Etats occidentaux de se reformer afin spéculer le crue d’une aciérie là-dedans un district estimable identique fondamental au étiage communautaire, somme en respectant les menstruation européennes en corps de prestation des sociétés. Celui appuyé au cloud regroupe l’Allemagne, l’Espagne, la France, la Hongrie, l’Italie, les Pays-Bas et la Pologne, donc que 19 sociétés, lequel les opérateurs Orange et Telefonica, le poudingue Siemens, donc que Capgemini, OVH ou Atos.
(Avec AFP)
Comments are closed.