Au tête de lit des vignerons du Lot, Carole Delga signe la génération d’une bruit collaborateur

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La présidente de Circonscription est avancée à la combat les viticulteurs du Lot, ce vendredi. Victimes des dégâts du gel, les producteurs appellent à l’collaborateur. Carole Delga a dévêtu un rafraîchi crédit Foster puis que le accrédité de l’Agriculture a fiancé une “mission flash”.

Ils n’en finissent pas de chiffrer les dégâts que déjà, il faut économiser la liquide. Et les pierre sont parfois charmants. Les viticulteurs du Lot ont hargneusement été touchés par le gel pénétré le 18 avril et le 23 avril. D’ensuite le récent autocritique, 90 % du semis a été touché. Les producteurs ont faim d’collaborateur. Ce vendredi, Carole Delga est avancée à la combat des représentants de la travail, au legs Paganie, à Puy-L’Evêque. ” On revient à la situation économique de 1956. Chez nous, c’est une situation très spécifique, la mise en culture coûte le double d’argent que dans d’autres départements “, vaincu Sébastien Sigaud, administrateur de l’UIVC (adjonction interprofessionnelle des vins de Cahors). Dans le magasin de Clément et Jessica Henry, la présidente de Circonscription a du mal à le aviser du même bulbe : oui, l’inventaire des parages est effarant, non, le Lot n’est pas un ” cas isolé “. Pour l’AOP Cahors, Nicolas Fournié rebondit : ” Il nous faudrait une aide au maintien pour relancer la machine et une aide à partir pour les vignerons en fin de carrière qui ne veulent pas engloutir leur capital personnel “. Cette fois-ci, la fermière de la Circonscription acquiesce.

Une collaborateur derrière les prêts bancaires

” Nous vendons plus de vins que nous en produisons, il faut absolument repasser sur un système de production. Surtout que nous avons tout juste le stock suffisant pour tenir jusqu’en juin 2026 “, délié Sébastien Sigaud. Actuellement, 35 000 hectolitres sont à ” l’élevage “, c’est-à-dire la niveau où le vin vieillit prématurément la costume en carafe. Il casemate déjà des vendanges au ras des pâquerettes. ” La récolte de cette année sera très faible, on l’estime à 20 hectolitres par hectare. L’année dernière, ce n’était pas mieux avec 19 hectolitres à l’hectare “, précise-t-il. Carole Delga dévoile puis une ” reconfiguration du plan d’aide Foster pour mieux s’adapter à la structuration sur du moyen et du long terme “. Le Foster 2, qui rentre en expérimentation pendant le mensualité de juin, permettra un ossature aux viticulteurs derrière les prêts de liquide malgré des banques. Ce moteur a été recherché en occupation des remontées du semis lotois néanmoins est proche aux viticulteurs de toute la Circonscription. ” Le Foster 1 est toujours d’actualité, mais le Foster 2 prévoit une aide aux prêts bancaires sur le volet des aléas climatiques. L’enveloppe peut aller jusqu’à 50 000 euros de prêt par exploitant “, sincère Carole Delga. ” C’est plus que nécessaire car les banques perdent la confiance “, reprend Vincent Labarthe, vice-président à la Circonscription. La Circonscription propose pareillement une collaborateur à la génération de retenues collinaires, individuelles ou collectives pour qu’une collaborateur à l’irrigation d’eau derrière colleter auprès le gel.

Sébastien Sigaud a le sympathie d’empressé été ” entendu ” : ” On assiste à une prise de conscience, la question était évoquée ce mercredi à l’Assemblée nationale par le ministre de l’Agriculture. Maintenant, comment allons-nous rebondir dans l’avenir ?” Une tourment en attente.

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