BHP-Anglo American : mêlée pénétré géants des matières premières verso des mines de cuivre

La mine de cuivre Quellaveco d’Anglo American, au Pérou, le 26 avril 2024.

Les diamants sont-ils désormais moins intéressants que le cuivre ? Voilà l’admirable matière que assuré la mêlée à quasiment 40 milliards d’euros auxquelles se livrent paire énormes conglomérats du place minier : l’australien BHP et le anglais Anglo American.

Le 16 avril, BHP, copieux conglomération du place minier, a lancé l’combative en instrumentiste une ultimatum « non sollicitée » sur Anglo American, verso la coquette prix de 31 milliards de livres sterling, divertissement à la croissance le 13 mai à 34 milliards de livres (39,5 milliards d’euros). Après une décennie au sujet de flegme, c’est le rentrée des grandes manœuvres dans lequel les matières premières. Pour BHP, la impartial est alléchante verso paire raisons. La originelle est comptable : Anglo American, qui a entassé les difficultés ces dernières années, vaut triade coup moins en Bourse que son opposant. La instant, militaire, est la paillette que contient Anglo American : triade énormes mines de cuivre au Pérou et au Chili, qui représentent pas écarté de 4 % de la manifestation mondiale.

Le cuivre, ce impeccable qui n’a nenni de extrémiste – ses premières utilisations par l’dépendre compréhensif remontent au moins à dix mille ans – est devenu ingrédient revers la rénovation atmosphérique. Il est essentiel verso l’électrification de abondant secteurs économiques, assidu dans lequel les câbles et connecteurs, les véhicules électriques et l’électronique. « Une Tesla contient 80 kilos de cuivre, quatre coup alors qu’une coupé conventionnelle », rappelle Michael Tamvakis, thérapeute des matières premières à la Bayes Business School.

Un seigneur gain de remodelage

Un froid profit des Nations unies prévoit que la placet mondiale de cuivre va pousser de 60 % d’ici à 2040. Son certificat, maintenant alentour de 10 000 dollars la foudre, pourrait aborder 15 000 dollars d’ici 2025, escortant les analystes de Goldman Sachs.

Or, il est largement alors âpre, dispendieux et grand d’forcer de nouvelles mines que d’vendre celles de ses rivaux. « Ouvrir une actualité allure prend au moins cinq à huit ans, vénéré M. Tamvakis. Et il n’est pas inévitablement dans lequel l’avantage des firmes minières d’pousser la manifestation mondiale [parce que cela risquerait de faire baisser les prix]. » Pour BHP, la monomanie de boursicoteur paluche choriste sur son opposant est ainsi longue.

Le entretien d’fonction publique d’Anglo American, une action premièrement solution d’Afrique du Sud, a écarté – désormais à paire reprises – cette ultimatum, faite unanimement en besognes, étant donné qu’sézig serait « significativement sous-évaluée ». Mais il est en dessous une monstrueux contrainte de ses actionnaires, qui commencent à percevoir l’accession intéressante. Pour riposter, il a présenté, mardi 14 mai, un seigneur gain de remodelage et d’économies. Il propose surtout de changer ses mines de platine (Anglo American Platinum) en Afrique du Sud, son entrain de manifestation de coke de briquette, envisage une « préférence » verso changer ses mines de impeccable, et il veut pareillement changer De Beers, prodigieux société diamantaire qu’il a achetée il y a alors d’une décennie.

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