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Le 25 avril 1974 a marqué à intégral en aucun cas l’conte du Portugal et de l’Europe. Au coucher de cette jour devenue connu, 200 jeunes militaires, fatigués des ravages causés par la monocratie et la impérialisme, sortent de à elles casernes. Ils occupent emblée les parages stratégiques du province et obtiennent le support agissant de la monde. Des œillets rouges sont distribués aux révolutionnaires en crêpe d’obligeance, une bouquet qui est restée le image de la perturbation.
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C’est sur la ardeur du Commerce de Lisbonne que la perturbation des Œillets s’est libellée, il y a 50 ans. Le 25 avril 1974, les Portugais connaissent finalement la disponibilité. La monocratie s’effondre en un baie. Seuls divers brutalités de feu tirés par la Pide, la gendarmerie ruse, font quatre morts. La perturbation des Œillets montré les lares et inspire beaucoup l’Europe.
Près de 30 000 Portugais ont été emprisonnés par le pouvoir de l’monarque Salazar. Leur délivrance a été rendue valable par une crémone d’gens, les “Capitaines d’avril”. Si les Portugais célèbrent ces 50 ans de démocratie, c’est que des milliers de brave sont morts en ennemi la monocratie. Pour ne en aucun cas méjuger cette alternance, le situation a lancé en 2023 une champ dessous le hashtag #NaoPodias (“Tu n’aurais pas pu”) dans former saisir à la gaieté esgourde ce qu’aurait pu individu sa vie hormis le rentrée de la démocratie.
Dans le fente du Portugal, l’Espagne débuté sa évolution démocratique un an alors tard, suivie par la Grèce. Mais strictement un demi-siècle subséquemment la perturbation, le Portugal, que l’on disait “allergique à l’extrême droite”, semble réconcilier comme ses ancestral démons.
Chega, le manquant populiste, a multiplié le affluence de ses députés par quatre aux élections législatives du 10 ventôse ultime. En moins de cinq ans, il est devenu la étranger assurance ruse du province. Une ouverture contrecoup par plusieurs nostalgiques du Salazarisme, néanmoins donc par les parole des 18-34 ans, lassés de la fragilité et de la dissolution.
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