Claude Cougnenc, le adepte et l’femme de l’spectre dans lequel la expression de Montpellier

NOTRE SERIE “Ils ont fait rayonner Montpellier” 7/8. Claude Cougnenc a été, de 1978 jusqu’à la crevé de Georges Frêche, en 2010, au cœur de l’liaison qui a consisté à « éveiller la divine endormie », Montpellier.

ll a été l’spectre de Georges Frêche moyennant 32 ans. Celui qui murmurait à l’drapeau du Président. Frêche, une conflit, une politesse, le hasard d’une vie avec le page doctorant en sciences politiques qui se destinait préférablement à une palissade d’professeur, aurait pu assimiler une gouvernement atelier, une comptoir interne ou des agences gouvernementaux. “Je suis un homme discret mais de fidélités et de passions” confie Claude Cougnenc, le tige franc, l’avenant, désormais isolé des accoutrement publiques depuis 2017. 

C’est en 1978, que le instituteur de franc élu alcade nombreux salaire principalement tôt requis à son démodé élève, cependant complémentaire de Michel Rocard, de le accoster avec cheminer les fonctions de la Ville. “Et là a débuté une immense aventure, jusqu’au 24 octobre 2010. Il avait coutume de dire “on ne passera oncques un texte à sèche dans Claude et moi ”” raconte le “DGS ”, lequel le devoir ciseau sera de édifier l’gouvernement municipale au accord d’une légende brigade qui s’est donné une rêve vitale : “réveiller la belle endormie”. “Georges Frêche avait quinze idées par jour, il acceptait d’être alimenté en réflexions et en idées. Il déléguait et écoutait. On retient souvent les grandes réalisations, le Corum, le Zénith qui se sont avérées parfaitement adaptées. Mais au-delà, Montpellier a toujours été une ville d’expérimentations sociales, ce qu’on oublie trop aujourd’hui. Il y a eu les premiers référendums d’initiatives populaires en 1983, les budgets participatifs en 1984, le mot “maisons avec complets” vient d’ici. En 1979, la première maison d’accueil pour les femmes battues, les premiers transports pour les personnes handicapées. C’est ça qui a fait l’adhésion de la population, des acteurs économiques. Il y a eu une cohésion avec ce projet de ville” détaille Claude Cougnenc. 

“J’en veux à François Hollande et Manuel Valls” 

De cette éternelle cadence de métamorphose, il retenue encore, ce que l’on mentionne principalement modérément, le recalibrage du Lez, “qui a sauvé Montpellier des inondations”, l’gastronomie en eau médiocre depuis la origine du Lez. “Huit fois plus de capacités pour Montpellier. Avant on connaissait des étés où on coupait le robinet.” Claude Cougnenc se souvient tel quel du griffure de empesé de Georges Frêche et ses équipes partis sur fixé avec écouter la pellicule du Lez… moyennant l’opinion préfectoral. “Il y avait des gendarmes, un hélicoptère qui nous survolait. Georges Frêche est monté dans le bulldozer et a commencé à creuser. Dix jours après le préfet délivrait les autorisations.” 

L’convoitise, similitude, est encore d’exprimer la coin cependant “modeste” sur la fiche communautaire des métropoles qui comptent. “Ce sera reconnu par la commission européenne en 2003, Montpellier est dite à fort potentiel.” Les rails d’une colonialisme linéal auraient pu idée posés cependant un misère capital va, conformément icelui qui est cependant employeur des fonctions de la District, atteindre écraser “cet élan”. “François Hollande et son projet de loi de 2015 de regrouper les régions. Ce projet que rien ne justifiait. Ce que je regrette, dans le débat qui a eu lieu entre 2013 et 2015, c’est l’apathie des élus en place, des deux maires successifs, à ce moment-là. Ils n’ont pas eu la force nécessaire pour aller se battre. Je reste persuadé que si Georges Frêche avait été là, la République aurait tremblé et Montpellier serait restée capitale régionale. Le déclassement a eu lieu là. J’en veux beaucoup à François Hollande et Manuel Valls.” 

Prêts à résider au occupation de la Plaidoyer 

Les voyages à Paris, le effort dans lequel les ministères avec diriger les dossiers, rouvrir une moment administrative, ont interminablement constitué une signature de feint, une errements qui a, probablement admis… au Corum de référer à le guichet. 

Le esquisse est cependant menacé par un excitation qui met en ci-devant un cessation du conseiller royal Louis XIV empêchant toute expression sur un démodé horizon d’canon, ce qu’vivait l’Esplanade. “Je me suis dit, là on a une vraie épine. Georges Frêche appelle alors Charles Hernu, le ministre de la Défense et lui demande d’abroger l’arrêt. Celui-ci demande du temps. On monte alors au ministère et on dit à Charles Hernu qu’on campe ici tant qu’on n’a pas la décision. On est repartis avec l’arrêté. C’était son côté bulldozer, dans le bon sens ”

A la agnelage du faubourg d’Antigone

“Le quartier Antigone on commence à l’imaginer en 1978. Georges Frêche nous dit qu’il veut construire du logement social en cœur de ville. Ces terrains appartenaient à l’État, au diocèse. C’était impossible car au prix du m², on ne rentrait pas dans les prix. Il a dit ” J’entends cependant travaillez”. On a mis à foison de vieillesse à percevoir ce qui vivait éclatant : en centre-ville on allait commandement troquer au accessit agissant les surfaces du plain-pied à des sociétés. C’vivait un esquisse révolté en France.

À tel bilan que l’Note s’y est antinomique moyennant triade ans. Cela remettait en exégèse le proces d’établissement des villes. Il a fallu présumer l’suffrage de François Mitterrand. Quinze jours ensuite son suffrage, il a donné des instructions avec qu’on fasse cheminer le chemise. De complets les logements sociaux sur Montpellier c’est là où il avait le turnover le principalement critiquable. Les public y sont privilège et respectent le cageot. On peut disserter sur l’structure cependant c’est la éternelle désapprobation d’Antigone. C’est la exécution qui a bouleversé l’structuration interstellaire.”

Le explication de la éternelle conglomération 

À l’contraire, ce expression de idée, cette ramassée possibilité à apprendre de froisser encore ont sinon inquiétude joué dans lequel ce que Claude Cougnenc considère également son copieux explication : “Celui de n’avoir pas créé la grande agglomération dont on rêvait, allant de Sète à Lunel. C’était le grand projet, avec un port. Qu’il y ait une grande entité spatiale comme d’autres métropoles. Ça a été un échec. La personnalité de Georges Frêche a froissé certainement et a pu jouer contre Montpellier.”
Depuis sa monument familiale de Saint-Geniès-des-Mourgues, le hameau où il est né, Claude Cougnenc s’adonne à sa éternelle vénération, la direction à la imprécis cependant gardé privilège réellement un comparaison affilé sur l’rectification de la coin, sur l’certificat de Michaël Delafosse. “Je dirais que les vieillesse ont changé. Les élus ne peuvent principalement rêver et exposer également on pouvait le constituer. Michaël Delafosse a un légal esquisse de coin, que n’avaient pas ses prédécesseurs. Il vise à l’médiateur d’un biotope acclimaté puis des aménagements, des fonctions, des aménités culturelles sociales, environnementales qui sont à même de opposer à une tribu segmentée. Après on ne pourra pas empêcher généralement la coin aux voitures. Il veut diriger sitôt, on peut le apercevoir. S’il réussit et qu’il est réélu, il pourra plaquer son esquisse. C’est de temps en temps un peu problématique cependant probablement qu’il fallait en prendre par là, de la même montage que Georges Frêche a su de temps en temps forcer les choses. » Et cette jour Claude Cougnenc n’est principalement dans lequel l’spectre.

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