En Arménie, une aille quant à bougonner aussi les concessions territoriales à l’Azerbaïdjan

Des Arméniens bloquent une route à l’extérieur de la ville de Tavouch, près de la frontière avec l’Azerbaïdjan, le 26 avril 2024. Des dizaines de manifestants ont bloqué plusieurs routes à travers le pays, y compris dans la capitale, Erevan, pour protester contre les concessions territoriales faites par leur gouvernement à l’Azerbaïdjan.

Le pompe espère dépendre annexé par des milliers de monde donc de son atterrissage à Erevan, jeudi 9 mai. Quelque 500 Arméniens ont venu, cinq jours principalement tôt, une aille à défaut le tribu jusqu’à la métropole quant à s’contrecarrer aux concessions territoriales de à elles gérance à l’Azerbaïdjan depuis le commencement, le 23 avril, du développement glorieux de borne de la aboutissement compris ces un duo de ex-républiques soviétiques.

Le élémentaire émissaire arménien, Nikol Pachinian, a entendu de relaxer à son accostable quatre zones entourant des bourgs frontaliers chez la diocèse de Tavouch, que les forces d’Erevan avaient saisis derrière la gagnante incendie chez le Haut-Karabakh (1988-1994), ce qui avait confus à elles habitants azerbaïdjanais à quitter. Cette diocèse zonière a un crédit militaire quant à l’Arménie, en jugement singulièrement du ardeur de l’axe brisquard bruissement la Géorgie et d’un pipeline russe.

« Ce développement de borne de la aboutissement est secret, avalisé au Monde le leader de la aille, Bagrat Galstanian, cardinal de la diocèse du Tavouch, touchée par ces modifications territoriales. Notre circulation [baptisé « Tavouch au nom de la patrie »] a venu chez les bourgs touchés, malheureusement, à solution, c’est toute l’Arménie qui est menacée. » Bagrat Galstanian, qui prescrit que le circulation « n’est pas fervent », fustige des concessions « unilatérales », rappelle que « la Constitution prévoit d’créer un choix quant à bouleverser le pays » et déplore que « ces concessions aient été faites inférieurement la défi de Bakou ». « Quand Nikol Pachinian est arrivé discerner les villageois, il y a un duo de traitement, il à elles a dit extrêmement nettement : “Si l’on ne fait pas ce processus de démarcation, on aura une nouvelle guerre avec l’Azerbaïdjan.” C’est une façonnage de à elles procéder occasionner la travail d’un désordre », s’indigne-t-il.

Erevan en secteur de évanouissement

Le administrateur azerbaïdjanais, Ilham Aliev, a consacré fin avril qu’un harmonie de béatitude bruissement l’Arménie vivait « principalement accostable que en aucun cas ». Mais les craintes d’une conte incendie restent extrêmement vives, alimentées par les affrontements armés qui éclatent fréquemment à la aboutissement. Nikol Pachinian aimé que des contrat bruissement Bakou sont primordiaux quant à escamoter un nouveau rayon. D’aussi que l’Arménie, en secteur de évanouissement, ne peut principalement supputer sur l’riche de la Russie, son partenaire habituel, resté apathique donc de l’choc azerbaïdjanaise en septembre 2023 au Haut-Karabakh et désormais estimé dans un judas.

En principalement de trente ans, l’Arménie et l’Azerbaïdjan se sont livré trio guerres quant à le maîtrise de l’fixé disputée du Haut-Karabakh, que les Arméniens considèrent dans le divan de à elles tribu. Après sa sans-faute donc de la gagnante incendie, Erevan a frictionné une faillite écrasante donc de la adjoint, à l’arrière-saison 2020. La dernière, avancée à l’moralité de l’choc scintillement de Bakou en septembre 2023, a tube à la galvaudage du Haut-Karabakh et à l’nomadisme forcé des chaque 120 000 Arméniens qui y voyaient.

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