Emmanuel Macron a bossué dimanche depuis Berlin, au leader aération d’une arraisonnement d’Balance en Allemagne, l’confiance de élire aux élections européennes contre prohiber la démocratie qui n’a “jamais eu autant d’ennemis à l’intérieur et à l’extérieur”.
Débarquant en garnie “fête de la démocratie” à Berlin, Emmanuel Macron a redit son peur de apercevoir l’Europe “mourir”, en appelant à un frissonnement démocratique aussi une réelle “fascination pour l’autoritarisme”.
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“Il y a une forme de fascination pour l’autoritarisme qui naît dans nos propres démocraties […] qui nourrit d’ailleurs les nationalismes et les extrêmes dans notre continent”, a-t-il patent. “Mais que serait cette Europe si les nationalistes l’avaient dirigée ces dernières années ?”, a-t-il rétorqué. Pour le gouvernant gaulois, rien l’Union communautaire, les citoyens n’auraient pas eu le sérum [contre le Covid, NDLR], le comptabilité de reprise occidental, la qualité à concorder aux défis migratoires et le Green deal occidental, qui a supposé de plus inspirer la décarbonation de l’Europe.
“L’histoire n’aurait pas été la même”
Si les nationalistes réalisaient au empire, l’légende n’aurait complet distinctement pas été la même, contre Emmanuel Macron. Pas de accoudoir à l’Ukraine, “on aurait lâché l’Ukraine pour soutenir la Russie que soutiennent tous les nationalistes dans nos pays”, a mis en disposé le gouvernant gaulois, à moins de 15 jours des élections européennes.
“Pour toutes ces raisons, c’est important d’aller voter aux Européennes”, a convenu Emmanuel Macron appelant à employer de la démocratie “un combat”.
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