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Ce mercredi 8 mai, Jean-Louis Even, le conseiller municipal de La Roche-Jaudy, à cause les Côtes-d’Armor, a refusé de bouquiner le prose du gouverne arrangé pile la solennité du 8 mai 1945. Explications.
Honorer les morts exclusivement spécialement glorifier les vivants. C’est le allocution qu’a prémédité entreprendre sauter le conseiller municipal d’une étroite brute des Côtes-d’Armor en poussant de bouquiner le prose du gouverne arrangé pile la solennité du 8 mai 1945. “Je me dis que les gens qui se sont battus pour notre liberté méritent qu’on respecte leur descendance, qu’on respecte aussi nos ainés qui sont, eux, encore vivants”, a-t-il promis.
“Qui accepterait ça ?”
Son rêve : affriander l’zèle sur la opportunité à cause les dispensaires et les Ehpad, indique France Bleu. “Est-ce que ceux qui sont morts pour notre liberté accepteraient que leurs nièces ou leurs neveux se retrouvent 72 heures sur un brancard dans un hôpital public ?, s’est interrogé Jean-Louis Even. Est-ce qu’ils accepteraient qu’on leur dise qu’ils ont des heures pour aller aux toilettes parce qu’on ne peut pas s’occuper d’eux au moment où ils ont besoin d’aller aux toilettes ? Qui accepterait ça ? Ceux qui sont morts pour nous sont morts pour que les vivants puissent continuer à vivre dignement.”
Jean-Louis Even rencontrera le 16 mai la mandataire déléguée aux Personnes âgées Fadila Khattabi. “Je ne suis pas une marionnette, s’est-il insurgé. Je ne dirai plus des messages qui certes sont très bien écrits, honorent très bien les morts, mais oublient les vivants.”
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