La drag-queen Minima Gesté a été chouchou moyennant personne relayeuse de la affection olympique le 14 juillet voisin. Depuis cette renseigné elle-même est la mission d’sacrilège homophobe et transphobe. Elle a réagi sur BFMTV totalité en assurant qu’elle-même restait “ultra-fière” de avive dépendre.
C’est la commune de Paris qui l’a annoncé le 1er mai, la drag-queen Minima Gesté a été chouchou moyennant dépendre au bouton de la affection olympique le 14 juillet voisin à Paris. Invitée sur BFMTV, elle-même raconte sa sentiment puisque elle-même a toléré le rémunération qui lui proposait de aller la affection. “Ça m’est tombé dessus” explique-t-elle.
Dès l’renseigné faite par la commune de la fondamentale, les documents et insultes homophobes et transphobes se sont multipliés sur les réseaux sociaux. Une opportunité que déplore la responsable grippe-sou néanmoins qui ne l’étonne pas.
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Un fait récidivant
Minima Gesté s’insurge figure à ces insultes et tient à évoquer que “ce ne sont pas des opinons” et qu’il s’agit en lapalissade de délits. La commune de Paris a d’ores et déjà “procédé à un signalement à la procureure de Paris des propos qu’elle estime potentiellement constitutifs du délit d’injure publique à caractère homophobe ou transphobe”. Une portée saluée par la drag-queen qui se dit “très fière que la mairie de Paris soit vraiment derrière moi”.
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Ces insultes ne sont pas une sentiment moyennant Minima Gesté qui raconte : “On voit que les crimes LGBTQIA + phobes continuent d’augmenter d’année en année. J’en ai fait les frais, je me suis déjà fait péter la gueule parce que je suis homo, je sais que ça continuera mais je sais que je me battrai pour continuer à être de plus en plus visible et empêcher que ça arrive.”
Avant d’joindre : “S’ils pensent que c’est la première fois que je me fais traiter de tous ces noms… Ça fait 15 ans moi que je sais que je suis homo, même plus. Ce n’est pas la première fois, je sais que ce ne sera pas la dernière fois”.
Une évidence importante
“En tant que drag-queen mais aussi en tant que moi, Arthur, jeune homme homosexuel, je suis ultra-fière de pouvoir porter la flamme le 14 juillet à Paris” témoigne Arthur Raynaud différemment Minima Gesté.
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Cette volonté de la commune récit totalité itou “une ouverture d’esprit de la société, même s’il y a encore des crimes gayphobes, même s’il y a encore des personnes trans qui se font foutre à la rue, juste de par qui elles sont” expresse la drag-queen. En ajoutant que ce recueil est une terriblement gentille machin car “la visibilité, c’est très important. C’est vraiment le combat de toute une génération”.
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