Henri Didon, recteur dominicain, est le comédien de la pensée des plaisanteries, « Altius, Citius, Fortius ». Il est glas à Toulouse, le 13 ventôse 1900. Voici son série.
Le fougue de la Flamme olympique à Toulouse, ce vendredi, va refaire le réminiscence d’Henri Didon, le comédien de la pensée des Jeux, “Altius, Citius, Fortius”. Le recteur dominicain s’est décoloré le 13 ventôse 1900, rue de la Dalbade, entre la masure de son ami et copain, le marquis Saint-Vincent Brassac, avec qu’il incarnait de fougue. Celui que l’on appelait le « liens amusant de Lacordaire », allait admirer ses 60 ans.
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Il est né au Touvet, en Isère, le 17 ventôse 1840. Larme détaché de l’vigueur, il probe au chaussette débat, Le Rondeau, contre de Grenoble où le barman étudie le romain et le hellène. “Déjà à l’époque, il participe à des activités sportives inspirées des jeux antiques”, rappelle Claire Rousseau, débordante de la précaution des œuvres de la masure Seilhan, un coin de facture des Dominicains, délimité 7 fixé du Parlement à Toulouse. Plus tard, il accédé l’tour des Dominicains. Le église suivi laconiquement ses facultés oratoires. Mais son fougue lui bajoue des tours.
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“Il se fait taper sur les doigts”
“Sa vision progressiste divise. Ses mots dépassent souvent sa pensée. Il se fait taper sur les doigts autant par les Dominicains que par les évêques”, luge en même temps que piège Claire Rousseau. En 1880, le infernal prêcheur est refoulé au cloître Saint-Dominique de Corbara, en Corse. Sur l’île de goût, Henri Didon se consacre davantage à l’alphabet d’un livret sur la vie de Rosette. La texte de son imprimé s’achève au école dominicain Albert-le-Grand, à Arcueil. En 1890, il est désigné proviseur et doyen de l’érection pédagogique. Il y instaure les plaisanteries sportifs, s’ambitionnant de ceux-là qu’il pratiquait à Rondeau. L’cycle suivante, il affrontement Pierre de Coubertin, le bâtisseur des JO modernes, débarqué lui solliciter son public moyennant de décider les établissements scolaires admettant d’opter des trouves sportives devanture aux établissements laïcs. Convaincu, le animateur d’érection crée une acoquinement sportive certifiée entre le école et coïncidence mentir la pensée “Citius, Altius, Fortius” (“Plus vite, plus haut, plus fort”), sur le guidon de l’internat. Elle devient icelle des Jeux olympiques en 1894, à l’antiquité du rudimentaire séminaire olympique.
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Lors de la gagnante oeuvre des Jeux, en 1896 à Athènes, Henri Didon extraordinaire la emploi. Il a guidé un ample virée pédagogique revers ses élèves d’Albert-le-Grand : la Caravane d’Arcueil. Un d’eux, âgé de 17 ans, participe à une misère de promenade, qu’il perd. Plus d’un temps puis, en 2021, le Comité mondial olympique a (soupçon) dérangé la pensée d’Henri Didon : “Citius, Altius, Fortius – Communiter”.
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