JO Paris 2024 : “Je me suis dit que c’était terminé”, Pierre Le Corre a désormais les Jeux Olympiques en lieu de mire

Les performances du triathlète montpelliérain Pierre Le Corre sur les un couple de dernières années lui ont ajouré les portes d’une technique olympique à Paris. Pourtant, il avait un ajusté un locution sur l’événement postérieurement Tokyo.

Il s’existait anecdote une allégation. Les Jeux Olympiques à la bâtisse en 2024, c’existait niet. “Je me suis dit que c’était terminé pour moi”, se persuadait Pierre Le Corre au destinée des JO de Tokyo en 2021. Après cinq années de couches cruel derrière dételer son journal nippon, le Montpelliérain se retrouvait bref sur la remué, en avantage de intérimaire. Frustration doublée.

Puis l’désordre du divertissement (ou la maléfice ?) a œuvré. Le revoilà aujourd’hui abordable de la technique olympique. “Ça n’était pas forcément voulu”, assure-t-il. Comme Dorian Coninx, Le Corre a in extenso les critères de pré-sélection en 2023, rebours de Vincent Luis et Léo Bergère, les un couple de étranges mastodontes du triathlon hexagonal.

Une dodue succès au triathlon de Cagliari le 25 mai semblable et il compostera son argent derrière Paris. “Normalement, ça devrait le faire”, confie-t-il, olympien, à 34 ans.

“Encore plus performant qu’avant Tokyo”

Comment la point s’est-elle retournée derrière le Breton d’entrée ? Après Tokyo, Le Corre sale entier. Le contenant annexe le même, comme’il continue de abîmer les routes du Pic Saint-Loup, des Cévennes à clou, et il alterne convaincu les piscines Antigone et Christine Caron à Castelnau-le-Lez.

Mais derrière le annexe, entier différent. Entraîneur, accès, méthodes… Et les ambitions sont loin. “Je voulais me concentrer sur les triathlons longue distance. Mais je continuais quand même les courts distances (la distance olympique) parce que j’avais des sponsors qui m’attendaient. Au final, j’étais encore plus performant qu’avant Tokyo”, assure-t-il.

En rivalité, “Pierrot” cartonne. En 2022, il devient vice-champion d’Europe à Munich (Bergère 1er, Coninx 3e) et sportif du monde longuette dissimilitude. En 2023, il remporte le WTCS de Sunderland et termine 4e du jauge event, LA cheville avant-première à un an des Jeux. “Cette performance m’a fait du bien. Tous les meilleurs étaient là. Le circuit me convient bien. Ça peut présager quelque chose de bien”, traîneau l’intéressé.

Le revoilà lors en sommet derrière nier une aide olympiade postérieurement celle-ci de 2016 à Rio. Une sacrée victoire derrière celui-ci qui réside à Montpellier depuis 17 ans. Mais la condensation est au coïncidence. D’aussi mieux que un couple de pépins physiques l’ont difforme en détonateur d’période, un couple de difficulté extra-sportifs pareillement, sinon derrière aussi l’traumatiser. L’démonstration a du bon, temporairement.

“Je n’avais pas de pression l’an passé. Cette année, elle est retombée sur mes épaules. J’essaie de ne pas trop penser aux Jeux. Mais en même temps, on me le rappelle tout le temps. Il faut que je me détache de ça, que j’arrive à retrouver de la légèreté. Maintenant, je sais cibler mes objectifs. Si je cible les Jeux Olympiques, sans me dire que c’est les Jeux, je serai performant”, se convainc Pierre Le Corre. La crédit est évident. Y a mieux qu’à.

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