JO Paris 2024 : “L’argent règne en roi, le sport business et ses dérives participent au massacre environnemental” dénoncent des élus écologistes de Marseille

Les cinq élus critiquent “le dévoiement de l’idéal olympique” au opportunité où la banderole olympique va survenir à Marseille.Nous ne croyons pas à la belle histoire que l’on veut nous raconter”, accusent-ils.

“Impact écologique négatif”, “greenwashing” par des “multinationales climaticides”, “nettoyage social” : dans lequel une scène publiée mardi sur le parage de Libération, cinq élus écologistes de Marseille dénoncent “le dévoiement de l’idéal olympique”, à la récipient de l’débarquement de la banderole dans lequel à elles localité.

“Nous ne croyons pas à la belle histoire que l’on veut nous raconter”, accusent les cinq signataires, seulement amas de la maturité municipale du échevin divers-gauche Benoît Payan qui s’est déconfit pile que la collaborateur localité de France accueille la banderole olympique des Jeux de Paris 2024, lequel l’débarquement est prévue mercredi à pourtour du clipper Belem, depuis la Grèce.

Ils dénoncent l’instrumentalisation des JO

Ils dénoncent “l’instrumentalisation des JO”, devenus un “outil de détournement de l’opinion publique des enjeux vitaux de notre époque: le défi climatique et la sauvegarde de notre cadre démocratique et de notre pacte social”.

Emmenés par Sébastien Barles, attaché au échevin de Marseille à la développement biotique et partisan de la maturité “Printemps Marseillais” qui a séduit la localité en juin 2020, en conséquence 25 ans de prédominance de Jean-Claude Gaudin (LR), les signataires de la scène dénoncent pourquoi une “Europe forteresse qui a oublié ses traditions d’accueil et d’hospitalité”, menacée par “la montée du national-populisme et des démocraties illibérales”.

Les milliards d’capital commun dépensés sont fustigés

De même, ils s’interrogent sur le montant de ces Jeux, des “milliards d’argent public” (de trio à cinq milliards, disciple la Cour des factures) qui auraient pu, disciple eux, “financer les investissements nécessaires à la transition écologique et répondre à la montée de la précarité énergétique et alimentaire”.

Sur ce persienne biotique, les cinq élus voient en ces Jeux “de grandes opérations de greenwashing à la gloire de multinationales climaticides” également Coca-Cola, protecteur autorisé du accroissement de la banderole, “parangon planétaire des ravages de la malbouffe”.

Immense coup copie 

Le 29 avril, l’annexion massaliote de rempart de l’concordance “Clean my Calanques” (Nettoie mes calanques) avait refusé de occasionner la banderole pile les mêmes raisons. “Il est grand temps de réinterroger ces grandes compétitions sportives internationales où l’argent règne en roi et le sport business et ses dérives participe au massacre environnemental”, insistent les élus phocéen, en soulignant “l’immense impact carbone lié aux déplacements internationaux” des athlètes ou des notoire, les “sources de pollution en plus” et “le nettoyage social dans les villes d’accueil”

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