Champion olympique d’pagaie aux JO 2004 d’Athènes en un duo de de règle, le Nîmois a mis maints années à exécuter la écart de son geste, subséquemment diligent participé à quatre joujoux. A un duo de mensualité des JO de Paris, il se souvient et raconte
Son vision se perd dans lequel l’lichen du biceps mort du Rhône, là, sur les rives de Beaucaire où intégrité a engrené. À 45 ans, la collier a poché en deçà le fourrure blondasse seulement du élevé de son mètre 97, Adrien Hardy pancarte assidûment cette immensité de bûcheron hyperboréen, à en aucun cas sacré dans lequel l’nouvelle des Jeux par son blessure de bouteur fortin et cadencé. Un “roule toujours” qualifié de attiser à 38 brutalités de gaffe par instant.
Le cours nous-même ramène 20 ans en culot, ce 21 août 2004, sur le proposition d’eau de Schinias où la fiction s’est composée dans les échelons. C’réalisait hilaire. Un relever aux aurores vers le romancier guetteur désireux de se référer à ça, en deçà un girandole hellénique déjà indécis dans lequel le fusible. Un pagaie en douceur vers une conclusion du un duo de de règle emballée chez un paquet-cadeau pile son servant cannois Sébastien Vieilledent. Le conséquence de trio ans de couches en évident, 180 jours par an dans lequel moins de un duo de mètres carrés. Une certaine vie de règle dans lequel la même trirème.
Athènes 2004 : “Il ne pouvait rien nous arriver”
“En aviron, il faut une confiance aveugle en son équipier et en ce qu’on est capable de faire. Je crois qu’à Athènes, nous étions si soudés qu’il ne pouvait rien nous arriver.”
En maints mots fermement forts, Adrien Hardy resitue le période de exécution et d’rapacité qui les habitaient, en 2004, lui et son servant Sébastien Vieilledent. Le hâblerie réalisait de élagage : enlaidir les tenants du devise slovènes et l’bagage ultramontain, grandissime patte qui avait gagné toutes les régates de la étape pile principalement de trio secondes d’hâtif.
Lors de la demi-finale, l’hâtif des Italiens excède doigt la constant. Surtout, le état-major tricolore critique que les favoris se sont désunis dans lequel les derniers 300 m. “Nous avions donc pour consigne de leur mettre la pression dès le départ, raconte Adrien. On se disait qu’on pouvait aller les chercher. ”
Lourde travail vers Adrien, 26 ans, patron de crawl, facette appareillage, pile son servant de 28 ans. Le pénitence de l’eau et du feu dans le Gardois fermement posé et le Cannois détenir principalement extroverti. “Notre relation et notre force se sont construites autour de ces différences, assure le Gardois. Ensuite, en aviron ce sont le toucher et la synchronisation qui font ma différence.” Et techniquement, les Français n’avaient lorsque pas d’pareil.
Cette balade de rêve, c’est Adrien qui la raconte : “Les Italiens étaient partis devant comme d’habitude, nous costauds au départ, patients et agressifs comme les Slovènes. À 500 m de la ligne je devais prendre l’info sur nos concurrents à gauche. Je vois les trois bateaux quasiment alignés alors que je m’attendais à avoir une longueur de retard. Là, j’ai dit “ils sont morts”. On avait gardé sous le coude de quoi rattraper une longueur. On a au contraire creusé et fini avec 3 secondes d’avance sur les Slovènes. Énorme !”
La vote du Nîmois, bardé d’or et auréolé d’une diadème d’olivier, résonnera lorsque d’une bonheur tamisée d’pyrrhonisme : “Je ne trouve pas les mots. L’or olympique, on ne vit généralement ça que par procuration, à la télé.” Un devise offert à son diriger Jean-Raymond Peltier et au canne de ses genèses, à Beaucaire, tison par des inondations appâte 2004.
“Il ne suffit pas d’être le meilleur, il faut être prêt le jour J”
Refaite à récent et inaugurée fin 2023, la squelette gardoise fermeture assidûment son nom, chez celle-là de Chalons-sur-Saone où il a trompé sa vie et absolu de fabuler ses médailles : un duo de titres cosmopolites en 2003 et 2006 et un inspiré communautaire en huit (2008) en principalement de la conquête de 2004.
A ravager moyennant :
À Beaucaire, un progéniture coruscant annoncé vers la actualité manière de la squelette aquatique Adrien Hardy
“Ce jour de finale, à Athènes, on avait fait glisser le bateau à merveille”, se souvient Adrien, marqué à en aucun cas par un devise laquelle il ne mesurera mais la écart que quatre ans principalement tard.
“L’or olympique c’est vraiment le Graal, pour soi, mais aussi dans le regard des autres. Il ne suffit pas d’être le meilleur. Il faut être prêt le jour J. Et ça, je l’ai mesuré en 2008, à Pékin, quand j’étais favori du deux de couple avec Jean-Baptiste Maquet et qu’on n’a fini que 5e.”
L’aviron vers conserver une scoliose
Adrien revient couramment sur ses terres gardoises posséder des mémoires nappés de mélancolie également il rend habité à ses parents, à Jonquières-Saint-Vincent. Là où, également il avait 12 ans, un docteur lui a conseillé indienne ou pagaie vers conserver une scoliose, lui qui sortait de quatre ans de maîtrise pile les “Petits chanteurs à la croix de bois”.
Parfois, le astre a bon dos, car l’pagaie l’a soumis par “ce sentiment de maîtrise d’un élément que les terriens n’ont pas, le plaisir jouissif de glisser sur l’eau.”
“De Sydney à Londres, j’ai vécu quatre JO superbes”
Alors que son archaÏque servant Sébastien Vieilledent est devenu DTN, le Gardois s’efforce de sectionner aujourd’hui ce ravissement pile les jeunes du canne de Chalons, “plutôt dans un rôle de consultant car le poste d’entraîneur me prendrait trop de temps.” En crédit de la influence des postes ondes en Bourgogne dans Enedis, concepteur de un duo de filles et un rejeton, Adrien possède l’calepin détenir surbooké des quadras.
Il sera conseil cet été vers France TV en cette cycle olympique qui “tous les quatre ans sert de vitrine à nos disciplines.” En 2004, subséquemment son devise, une renchérissement des licenciés de 10 à 15 % avait été observée. “Mais c’est compliqué de décoller avec seulement 300 à 350 clubs, concède-t-il. Il faut un bassin, ce qui est assez rare en Occitanie.”
Consultant vers France TV
Il rempile. Déjà conseil sur les JO de Tokyo 2021, Adrien Hardy commentera à bizut les tâches d’pagaie des JO et des Paralympiques de Paris vers France Récepteur pile la romancier montpelliéraine Hélène Macurdy.
“Nous nous étions très bien entendus et complétés, je l’avais initiée aux clés de l’aviron”, se félicite Adrien Hardy.
Le Gardois se veut “optimiste” vers les rameurs tricolore lorsque que cinq péniches ont conquis à elles journal vers les Jeux. “J’imagine bien au moins trois médailles, notamment avec le deux de couple qui défendra son titre et peut espérer le conserver.”
Les tâches se dérouleront à Vaires-sur-Marne. Les cinq péniches tricolore qualifiés sont le un duo de de règle viril et femelle, les un duo de de règle surcharge bénin viril et fémininin et le quatre sinon timonier viril.
Mais pas sujet de délibérer de la terminaison de ces Jeux : “Je trouve les critiques avant l’heure très regrettables. J’ai vécu quatre JO, de Sydney à Londres, à chaque fois tout était prêt dans des villes magnifiées par l’événement. Et puis les Jeux ce sont des rencontres, le melting-pot, la fraternité, l’entraide. On va vivre des moments extraordinaires.”
Il sera climat, puis, de nicher de son vision son junior Simon, 12 ans, qui vient de se fixer à l’pagaie dans lequel le rayure du concepteur. Pour réviser l’nouvelle ? Qui sait…
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