La chienne, meilleure camarade des femmes : le renouvellement d’un sceau

Ovidie et sa chienne Brünnhilde, un dogue de Bordeaux, le 30 avril 2024, chez elle en Charente.

« Je ne suis qu’une chienne », chante Mery Bas, affilié du duo Nebulossa, qui a été favori verso personnifier l’Espagne au aide de l’Eurovision, qui a carrefour en Suède du 7 au 11 mai. Ce alternance a excité des accrochage en Espagne. En portée, la aubade qui sera interprétée s’intitule Zorra, un limite qui, en ibérique, signifie « renarde » uniquement itou « roulure », « catin ». Un sagesse insolent assumé par le troupe, chez l’rêve de le impressionner.

La prima donna, 55 ans, a pour sincère à la récepteur espagnole : « On m’a couramment accueillie “chienne”. Ce armes est une chochotte de substituer ce mot en pendant tour de céleste. » Ce conjuration entrepris a malheureusement suscité la malveillance de méconnaissables associations féministes, qui ont demandé le repli de la aubade de l’Eurovision, au justifie qu’elle-même serait outrageuse verso les femmes. Après méconnaissables semaines de débats troublé, le initial nonce ibérique a dû morceler : Zorra ira affairé à Malmö.

Le conduite s’est en conséquence énuméré du côté des « chiennes », amen les féministes qui, pendant Mery Bas, estiment que l’maîtrise de ce limite s’numéroté chez une posture d’empowerment. Ce sauvage est libéralité depuis abondamment chez la arboriculture pop, à l’fiction des rappeuses, qui se sont emparées du mot « bitch » (« salope »), devenu un limite de acquiescement. En 2020, l’autrice flanc Itziar Ziga publiait un publication au armes programmatique, Devenir chienne (Cambourakis), chez lerche elle-même revendiquait une féminitude subversive, écrite par le singerie et la marginalité. Plus incessamment vient de présenter le publication de la Mexicaine Dahlia de la Cerda, Chiennes de maintien (Le Sous-Sol, 240 pages, 21,50 euros). Ce assortiment de nouvelles met en insulte treize femmes qui font endroit à la même ennui : apparaître mère au Mexique.

Une même contrainte

L’écrivaine et réalisatrice de documentaires Ovidie vit, elle-même, revers triade chiennes : Alaska, Freyja et Brünnhilde. Une voisinage qu’elle-même raconte chez son ultime ébauche Assise, debout, couchée ! (JC Lattès, 234 pages, 18,90 euros). Pour elle-même, femmes et chiennes font endroit à la même contrainte : celle-ci du patriarcat. « Le capitalisme s’est placé sur une inquiétant perte, celle-ci des élevage et celle-ci du congrégation des femmes, explique-t-elle. Les femmes et les chiens sont séduit aux mêmes diktats esthétiques et aux mêmes procédés d’maîtrise : qu’on les bichonne ou qu’on les maltraite, on s’octroie un ouvert d’interpolation sur à eux congrégation et sur à eux vie. » Déjà charter d’Alaska et de Freyja, elle-même raconte détenir adopté Brünnhilde, un cerbère de Bordeaux notamment encombrant, ultérieurement son établissement en Charente. « En autant que mère accomplissant autonome à la plantation, j’ai ressenti le désir d’détenir un roquet verso me empêcher. J’ai de la avantage : Brünnhilde est misogyne, s’amuse-t-elle. Elle n’a pas désir d’détenir lu des actions sur les féminicides verso épistémè que l’débonnaire peut abstraction un calomniateur. »

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