Le bateau Starliner de Boeing va enlever voisinage l’ISS derrière ses primitifs astronautes

Les astronautes américains Butch Wilmore et Suni Williams doivent enlever lundi à 22 h 34 de Cap Canaveral en Floride (mardi 2 h 34 GMT) à arête de la défaut Starliner en férule de la Station spatiale internationale. C’est une étrenne pile le bateau de Boeing, qui n’a en aucun cas passionné d’humains jusqu’ici.

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Après des années de contretemps et de reports, le bateau Starliner de Boeing doit pile la étrenne jour enlever lundi 6 mai derrière des astronautes à arête, férule la Station spatiale internationale (ISS), et pourquoi rallier le night-club exceptionnellement spécial des chalands spatiaux riche passionné des humains.

Boeing risque corpulent sur cette final occupation apprentissage, qui doit lui autoriser de penser que son bateau est sûr précocement de attaquer les missions régulières voisinage l’ISS, derrière déjà quatre ans de report sur SpaceX.

Les astronautes américains Butch Wilmore et Suni Williams doivent enlever lundi à 22 h 34 de Cap Canaveral en Floride (mardi 2 h 34 GMT) à arête de la défaut Starliner, qui sera propulsée en giration par une satellite Atlas V du serre ULA. La météo s’communiqué exceptionnellement bénéfique.

Ces vétérans de l’horizon, intégraux paire venus de l’US Navy, se sont quiconque déjà rapports paire jour là-dedans l’ISS, à arête d’une fusette spatiale comme d’un bateau russe Soyouz. Mais cette jour, “tout est nouveau, tout est unique, le vaisseau lui-même, la façon dont il vole”, a acanthe Butch Wilmore. “Je ne crois pas qu’aucun de nous ait jamais osé rêver être associé au premier vol d’un tout nouveau vaisseau”, s’est-il rassasié.

Pour la Nasa, qui a commandé ce automobile il y a dix ans, l’pari moyennant est large : disposer un moindre automobile en davantage de celui-ci de SpaceX pile enflammer les astronautes américains “est très important”, a acanthe Dana Weigel, garnie du guide de l’ISS.

Cette disposition permettra de maîtrise davantage rétorquer à “différents scénarios” d’obligation, par prototype en cas de corvée sur l’un des chalands, a-t-elle revue.

Une jour là-dedans l’horizon, les astronautes piloteront parfois le bateau artisanalement, quelque de crédibiliser le marche de ce règle.

Starliner doit en conséquence s’fixer à l’ISS mercredi voisinage 5 h GMT et y persister un peu davantage d’une semaine. De authentiques tests seront réalisés, comme les paire astronautes repartiront derrière lui voisinage la Terre.

Le vaisseau spatial Starliner de Boeing.
Le bateau cosmique Starliner de Boeing. © Gal Roma, Valentina Breschi, AFP

Une parabole consignée par les mauvaises surprises

La issue de cette occupation viendrait finir sur une délicate ajout le guide de progression du bateau, une parabole consignée par les mauvaises surprises.

En 2019, lorsque d’un antécédent apprentissage hormis fourniment, la défaut n’avait pas pu appartenir agencée sur la délicate chemin et présentait revenue hormis débarquer l’ISS.

Puis en 2021, puis que la satellite se voyait sur le pas de tir pile réessayer le vol, un corvée de valves bloquées sur la défaut avait principalement porté un remise.

Le bateau trou avait en définitive acheté à débarquer l’ISS en mai 2022.

Désormais, le antécédent vol derrière fourniment doit autoriser de témoigner la défaut, pile qu’lui-même commence en conséquence son activité de “taxi” voisinage l’ISS.

Les astronautes de la Nasa Butch Wilmore (à droite) et Suni Williams à Cap Canaveral (Floride), le 25 avril 2024, avant leur décollage à bord du vaisseau Starliner de Boeing.
Les astronautes de la Nasa Butch Wilmore (à cordiale) et Suni Williams à Cap Canaveral (Floride), le 25 avril 2024, précocement à elles envol à arête du bateau Starliner de Boeing. © Gregg Newton, AFP

Boeing avait compté maîtrise composer ce antécédent vol habité dès 2022, malheureusement des problèmes découverts tardivement, singulièrement sur les parachutes freinant la défaut lorsque de son accroissement là-dedans l’aura matériel, avaient de froid généré des retards.

“Il y a eu un certain nombre de choses qui ont été des surprises, que nous avons dû surmonter”, a droit lorsque d’une conciliabule de compact Mark Nappi, animateur comme Boeing. Mais “cela a rendu nos équipes très fortes, et fières de la façon dont elles ont vaincu chaque problème.”

“Il est assez classique que le développement d’un véhicule spatial pour humains prenne dix ans”, a-t-il accessoire.

Alterner les vols de SpaceX et Boeing

Les astronautes, globalité avec Boeing et la Nasa, s’attendent à ce que de authentiques imprévus ponctuent cette occupation, qui a pile but de trouver s’il annexe un rafale de cirque.

“Dans l’histoire des vols spatiaux américains, ce sera seulement la sixième fois que des astronautes de la Nasa voleront dans un nouveau vaisseau”, a acanthe Jim Free, commis actionnaire à la Nasa.

La défaut Dragon de SpaceX avait déjà accédé cette récapitulation en 2020, là-dedans le fente des programmes Mercury, Gemini, Apollo et des navettes spatiales.

Un drapeau avec le logo de la première mission habitée du vaisseau Starliner de Boeing, à Cap Canaveral (Floride) le 3 mai.
Un oriflamme derrière le logo de la étrenne occupation habitée du bateau Starliner de Boeing, à Cap Canaveral (Floride) le 3 mai. © Miguel J. Rodriguez Carrillo, AFP

Une jour Starliner opérant, la Nasa souhaite échanger dans les vols de SpaceX et Boeing pile aller ses astronautes jusqu’à l’ISS.

En 2014, l’assemblée spatiale avait passé un assemblage de 4,2 milliards de dollars derrière Boeing et de 2,6 milliards derrière SpaceX pile le progression de ces chalands.

“Tout le monde pensait que Boeing allait y arriver en premier”, a mobilisé à l’AFP Erik Seedhouse, magister actionnaire à l’faculté d’aviation Embry-Riddle. “Que SpaceX réussisse bien avant Starliner était très embarrassant pour Boeing.”

Alors que l’ISS doit appartenir déguisement à la bauge en 2030, Starliner avec Dragon pourraient en conséquence produire à aller des humains voisinage de futures stations spatiales privées, que différentes commerces prévoient déjà de former.

Avec AFP

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