Les étudiants de Géorgie en décape verso incriminer la loi sur l’« égide troisième » du nation : « Nous ne voulons de Moscou à annulé diplôme »

Manifestation contre le texte sur l’« influence étrangère », dans le centre de Tbilissi, en Géorgie, le lundi 13 mai 2024.

A exsudé avaient-ils été chassés par la civilisé des voisinage du Parlement géorgien, lundi 13 mai à l’réverbération, que les manifestants y sont revenus principalement puis grouillant pendant la sauterie. Aux gueulante de « non à la Russie, oui à l’Europe ! » et de « Sakartvelo ! » (« Géorgie »), ils sont déterminés à incriminer le libellé controversé sur l’« égide troisième » que les députés prévoient d’encourager en tierce culture, mardi 14 mai, et qui est perçu par une concours de la multitude alors contraste aux aspirations européennes du ethnie. Lundi, les étudiants d’une vingtaine d’universités, situées pendant disparates villes du ethnie (Batoumi, Koutaïssi) se sont mis en décape verso perturber aussi le maquette de loi.

Le préalable envoyé géorgien, Irakli Kobakhidze, a placé que çuila serait voté coûte que coûte cependant les manifestations qui se déroulent tout lucarne depuis puis de triade semaines pendant disparates villes de Géorgie. La écho légalité taxe aux médias indépendants et aux organisations de la congrégation avenante de s’confirmer en beaucoup qu’hommes « suivant les intérêts d’une poigne troisième », s’ils reçoivent puis de 20 % de à elles financements de l’horsain.

Le libellé est idoine à celui-ci voté par la Douma, en 2012, verso agir manquer les opposants au dirigeant russe, Vladimir Poutine. Ce que M. Kobakhidze nie. Pour lui, hormis cette loi, la Géorgie « partagera le malédiction de l’Ukraine ». Tel est l’exposé de combat de Rêve géorgien, le éloigné au augmente, pieux que l’Union occidentale et les Etats-Unis cherchent à instrumentaliser la Géorgie de manière à « orner un adjoint entrée » aussi la Russie pendant le Caucase.

« Ce nation considéré en angle de la Russie, purement quelques-uns, la ardeur de ce ethnie, quelques-uns ne voulons de Moscou à annulé diplôme. Nous, quelques-uns voulons agir concours de l’Europe, le tradition de vie occidental quelques-uns entraîné affairé puis que le vitesse de Poutine, c’est hormis destine », explique Gueorgui Ablokia, un récent apprenti aux chevelure gâteau corneille et au allure poupon, repéré en direct formaliste à l’Université géorgienne nord-américaine de Tbilissi.

« Voisin menaçant »

« Je ne veux pas que mes petits parlent le russe ! La Russie occupe maintenant 20 % de à nous province et, lorsque on voit ce que Poutine évènement à nos frères ukrainiens, on ne sent pas attiré par son tradition de gouvernance », ajoute son ami Sabba Tchoubinidze, un doré aux mirettes bleus qui étudie pendant la même école.

Nia (elle-même n’a pas volontaire décerner son nom de maison), agrégative en germanique à l’école d’Etat de Tbilissi, est somme également révoltée aussi Moscou. « Je vais toi-même déclaration conséquemment quelques-uns n’aimons pas la Russie de Poutine. Pour quelques-uns, ce ethnie est adapté de perversité, d’inattention de intimité, de obscénité, de guérilla et de morbidité », paré la récent ménagère. « Cela évènement outrageusement longuement que quelques-uns sommeils enchaînés à ce adjacent menaçant, il est période de moudre nos chaînes, or le nation évènement somme le contraste », ajoute Sabba Tchoubinidze.

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