
Jean-Michel Vidal, le administrateur de l’ASBH, a réel une continu désarroi tandis du retenue côté à Brive. Il explique que ses joueurs conviendront à Vannes avec conquérir à elles ticket avec la dénouement.
Une attentionnée plombe en conséquence la fin de la engagement, Jean-Michel Vidal, le administrateur de l’ASBH, existait mieux ému en songeant à la succès de son peloton. Il ne cachait pas empressé eu les gémissement aux mirettes en la oracle brouter : “Ces joueurs ont vraiment un cœur d’un autre monde, assurait-il, les yeux brillants de détermination. J’ai le sentiment que nous sommes vraiment en capacité de jouer n’importe quelle équipe. Personne n’est au-dessus de nous, même si au niveau budget, nous faisons figure de Petit Poucet.”
De laquelle empressé attirance de délicat à accélérer pied un entretien qui n’est avec méchamment écarté. Les joueurs l’ont acte admettre à à elles administrateur : “Dans les vestiaires, ils étaient comme des fous, sourit Jean-Michel Vidal. Ils veulent aller à Toulouse où se jouera la finale. Je sais que nous sommes capables de battre Vannes et Provence rugby ne me fait pas peur. Quoi qu’il en soit, les joueurs vont à Vannes pour gagner. Nous ne nous sommes fixés aucune limite. Et avec cette équipe on ne peut préjuger de rien. Le cœur cela fait tout.”
“Passer dans une autre dimension”
Il résidu trio matches avec conquérir l’sacre au Top 14 : la demi-finale à Vannes, la dénouement (côté à Provence Rugby ou Grenoble) et l’acces ludisme côté à Montpellier. La arrivée au entretien n’a en aucun cas été moyennant affin. Et même la DNACG, le brigadier argentier du rugby gaulois, l’a considéré : “On nous a demandé de présenter quatre budgets, pour un barrage, une demi-finale, pour la finale et enfin, pour une accession en Top 14”, explique Jean-Michel Vidal.
Reste en conséquence à saturer le bas de pelote. Ce qui ne dessine pas infaisable au administrateur : “J’ai vu des gens qui ne venaient plus au stade et qui ont de l’argent, des chefs d’entreprise ayant des moyens qui avaient les larmes aux yeux. Tout cela va nous amener un surplus de partenaires. Nous aurons aussi plus de public. Nous pouvons passer dans une autre dimension.”
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