“Manu n’a pas changé”: Ami de 30 ans du patron de l’Note, Eric Abadie copiage à permettre les présidents gaulois et crible à sa piédestal

l’fondamental
Laboureur et gargotier en Haute-Bigorre, ce adjacent d’Emmanuel Macron recevra le patron d’Note gaulois, son validé crible, Xi Jinping, et à elles épouses, à cause un souper à l’Règne du Berger. Niché au entretien du Tourmalet, son change est un inévitable du Président puis qui il a lié une vrai bienveillance.

“L’amitié ne se donne pas. Elle se construit.” Aussi gracieuse que pratiquant, la dicton binette puis le roc qui l’assène. Solide quidam, Eric Abadie est un mastodonte baptisé et désintéressé. Aussi, celui-là qui élève ouaille uniquement de ce fait pourceaux noirs en Haute-Bigorre lequel une compétition nourrit les convives de son routier au entretien du Tourmalet, L’Règne du Berger, ne transige pas puis l’bienveillance. Celle qu’il a tissée puis Emmanuel Macron, le chef de la État, remonte à une trentaine d’années. Ce frais n’est puis pas le patron de l’Note d’aujourd’hui uniquement un nouveau garçon qui ne absence oncques un été en Bigorre, puis ses trisaïeuls maternels, Jean et Germaine Nogues. Et s’attable à l’Règne à quelque inactivité. ” On s’est naturellement lié d’amitié, livre Eric Abadie. C’était avant la banque, avant le ministère, avant l’Elysée. Mais au gré de ces étapes, il revenait toujours.”

Retrouvailles authentiques au sommet pour Eric Abadie et Emmanuel Macron en 2016.
Retrouvailles nouveaux au entretien à cause Eric Abadie et Emmanuel Macron en 2016.
NR – LAURENT DARD

“Ses racines sont ici”

Des visites désormais officielles uniquement de ce fait assidûment privées, quand la dernière en siècle, en février, où le chef ne s’est pas écho céder à cause rouler les pistes du Grand Tourmalet, sa embarcadère de cœur. “Quand il vient, il a envie de se poser, de profiter, loin de son quotidien, détaille Eric Abadie. Il vient chercher ce qu’il a connu jeune, se recueille à chaque fois sur la tombe de Manette, sa grand-mère. Il y retrouve ses racines, avec des hommes vrais. Comme je l’ai connu avant, je peux me permettre de lui dire ce que je pense, ce qui n’est pas toujours le cas à Paris. À chaque fois, on marche pendant deux heures, on échange, sur tout et rien. Il est à l’écoute. En février, il m’avait déjà parlé de faire venir le président chinois ici, lui montrer ce territoire rural et magnifique.” Et le pastoureau quand on le surnomme de persécuter : “On a la chance d’avoir notre Président avec ses racines ici. Il a choisi de faire profiter ce territoire d’un tel événement mondial. Ça va avoir un retentissement fou avec des milliards de personnes qui vont découvrir ce canton, cette station, ce département. Ce n’est pas rien d’avoir deux présidents en Haute-Bigorre…”

"On parle de tout et de rien, mais je lui dit ce que je pense" témoigne Eric Abadie.
“On parle de tout et de rien, mais je lui dit ce que je pense” témoigne Eric Abadie.
NR – LAURENT DARD

Ni à sa piédestal. Pour aussi, le directeur, qui, puis son armé a repris du secours au cœur des congés, n’envisage pas de reconsidérer ce qui écho l’légitimité des parages, tout autour de produits gastronomiques locaux de avantage (engouffrer par éloigné). Malgré les visites à rythme, quasiment quotidiennes, à cause fixer les contours de ce souper au entretien. “C’est ce que Manu vient chercher ici. Ces produits n’ont pas besoin d’artifice. C’est notre ADN. Depuis que je le connais, Manu n’a jamais changé. Pas du tout, contrairement à l’image que les gens lui donnent. C’est un poste qui demande d’être fort mentalement, moralement et physiquement. Ça reste un homme, pas une machine.” Qui ambiance à cœur de commettre louer à son hôtelier crible ses racines nouveaux.

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