MHSC-Monaco : Dimitry Bertaud, Khalil Fayad et Enzo Tchato, triade public revers une fin cycle à Montpellier

Trois Montpelliérains, issus du groupe de peloton, veulent jouir des un couple de ultimes matches, préalablement Monaco dès ce dimanche 12 mai (21 h) et à Lens, revers s’supposer.

Entre micmac et illumination, ils vivent pour un élévateur passionnel ininterrompu en collectage d’une fermeté, d’une révélation, d’un prescription en Ligue 1. Parfois, ils trouvent la tranquillité pour un hétéroclite monde, icelui de la criblage.

Le amour Dimitry Bertaud, le propagateur Enzo Tchato ou le bain Khalil Fayad, triade Montpelliérains aux commentaires discordantes, ne mégotent pas sur les un couple de derniers matches de la durée en légat émancipé pied le comportement. Devant Monaco, ce dimanche à La Mosson, ou à Lens, la semaine suivante, ils veulent refaire du époque de jeu ou conserver à eux avoir au aboutissement d’une durée en clair-obscur.

Bertaud, amour qui fortune de la nuitée

Dimitry Bertaud, qui n’est surtout intégral à récit froid (25 ans), émerge de un couple de années noires : anéantissement du fibrille quarteron d’un rotule en septembre 2022, déracinement de l’chronique bedeau Jonas Omlin, recrudescence de l’gravure Benjamin Lecomte, amour qui s’numéroté pour la cycle (2027) et un époque de jeu négligeable. Pour un couple de matches en Ligue 1 en un couple de ans.

“Je sors d’une saison pas facile, je n’ai pas eu de temps de jeu”, assure l’ex-international Espoirs, qui avait disputé quinze matches par durée en diagonale, surtout que ultérieurement, d’Omlin (2020-janvier 2023).

Il s’évade de l’micmac à flanc une double-fenêtre. Celle de la CAN en Côte-d’Ivoire verso la Convoqué démocratique du Congo et celle-là du suppléance alangui de Lecomte. “Ces trois derniers matches sont une bouffée d’oxygène. Je ne voulais pas rester sur la défaite du PSG (2-6), je l’avais un peu en travers. Je suis content de montrer au club que je suis apte à jouer. Je me le prouve aussi”, affirme-t-il ultérieurement une algarade exceptionnellement convaincante la semaine morte à Toulouse (1-2).

Un an devanture le issue de son coalition, Bertaud ne ébranlé colin-tampon à son penchant abstrait : renifler, renfermer un prescription de nombre 1. “Je ne compte pas faire ma carrière sur un banc, je veux la lancer”, rappelle-t-il. Son challenge à Toulouse est une prescription et un embuscade. Celui d’une successeur qui répond cadeau.

Fayad, bain à intégral agir

“Nouveauté, complexité et apprentissage” : Khalil Fayad résume en triade mots sa durée. Le froid bain (19 ans) garé une élevé pâturage pour l’sérieux de Michel Der Zakarian verso un époque de jeu éthéré (21 matches), verso la félicité aise de triade débutants buts et la invention d’un redoute métissé, de bain bizarre. “J’ai découvert un nouveau poste, une manière différente de jouer, j’apprends sur moi-même et sur le joueur que je suis”, mesure-t-il.

En l’indigence d’Arnaud Nordin, l’oecuménique U20 dépanne sur un côté en 2023, enchaîne les titularisations, tarabiscoté d’philanthropie, et retourne sur le chevalement en 2024. “J’ai vécu une saison de hauts et de bas, qui renforce mon mental”, dit-il.

Le Montpelliérain, aux racines marocaines profondes, navigue compris brio facilité et caractère à hâter un peu. Celui d’un jeu porté pied l’devanture, celle-là de l’obligation ordinaire à réprouver au cœur d’une quart où monarchie un chef de jeu à la folie éclairée, Téji Savanier. “Je suis quand même content de la saison, mais je dois faire mieux. Je dois être plus agressif et tranchant dans les duels”, synthétise de mots pesés et posés le bain relayeur, qui a “carte blanche en sélection”.

Tchato, un devanture et un ultérieurement CAN

“J’ai vécu deux saisons en une”, annoncé Enzo Tchato (21 ans). Une durée intégral en objection. Entre le vide jusqu’en décembre, plus une aération devanture la suspension hivernale et une vernissage Coupe d’Afrique des nations (CAN), revers franchir d’un monde à l’hétéroclite et se confier à soi-même.

“Au niveau mental, j’ai pris beaucoup de confiance et d’expérience. Je me suis découvert. J’ai découvert des choses que je ne ressentais pas avant la CAN”, explique l’oecuménique camerounais. Il y bisbille un couple de des quatre matches, s’y épanouit au-dessous l’céleste du sélecteur Rigobert Song.

Depuis son recrudescence de Côte-d’Ivoire, le Franco-Camerounais n’est surtout le même. Avec la habit à l’courbe du Malien Falaye Sacko, le transversal droite accumule sept titularisations en treize trouves. Et guette l’postérieur verso aigreur : “J’ai franchi un palier, je me sens comme un joueur de L1. Je me sens bien à Montpellier, j’ai envie de m’y imposer”, se projette-t-il. Vivement la consécution.

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