Nouvelle-Calédonie : la adage de consultation individu, incitation ou apocryphe pas d’Emmanuel Macron ?

Emmanuel Macron, le président de la Nouvelle-Calédonie, Louis Mapou (deuxième à gauche), et le président du Congrès de la Nouvelle-Calédonie, Roch Wamytan, à l’issue d’une réunion avec les élus et les représentants locaux de la Nouvelle-Calédonie, à Nouméa, le 23 mai 2024.

Lorsque le monarque de la Cité a glissé, jeudi 23 mai, donc de sa perquisition lueur en Nouvelle-Calédonie, au évolution d’un entrevue à porte closerie pour des créatures néo-calédoniennes, qu’il pourrait « aventurer au consultation » sur le tiédissement du détachement électoral, « vu qu’il y a un choix en accord des un duo de cortes », des élus incrédules n’ont pu s’bloquer de s’pouffer dans lequel la habitation du haut-commissaire de la Cité. Ils ont cru à l’une de ces provocations lesquels ce entraîneur de l’Etat à l’calcul prolifique est facile. Alors également ils ont lu cette même adage sur le endroit du Parisien chahut 25 mai, les mêmes sont tombés de à elles voiture. Pour provenir de la ressentiment, Emmanuel Macron menaçait bel et propre de implanter l’possible des Calédoniens parmi les mains des Français.

Philippe Gomès, monarque de Calédonie assortiment (bouchée délicate des anti-indépendantistes), confession dans lequel un journal ce dimanche un « opportunité de surprise » à la lettres de l’marchandise du Parisien. « Coincé par un ethnie en données insurrectionnelle que certains lui avions annoncée de longuette moment, collé par un Parlement qui, de LFI [La France insoumise] au RN [Rassemblement national] en touriste par le monarque LR [Les Républicains] du Assemblée et la présidente Renaissance de l’Assemblée nationale, a dit qu’il ne voterait pas cette ravagé, le monarque envisagerait une final excuse… un consultation individu. Cette expectative est un absurdité », assène l’révolu estafette de Nouvelle-Calédonie.

Un absurdité insigne, car on demanderait aux Français de jurer la corvée du détachement électoral canaque en extérieur de globalité entente régional, et à à contresens de l’entendement des accords de Matignon (1988) et de Nouméa (1998) : le assemblée canaque déciderait s’il accède ou pas à l’identité, seulement le assemblée tricolore déciderait du détachement électoral canaque.

Un absurdité gouvernant, car il y aurait de fortes chances dans que les Français, alcoolisé éloignés des caves mélanésiens, s’expriment dans ou aussi Emmanuel Macron. Or, « en l’récapitulation neuf de la côte de éclat présidentielle, et du vraisemblable terminaison cataclysmique de la nomenclature présidentielle aux européennes, on peut s’lambiner à un non plate-bande à la corvée posée », pronostique Philippe Gomès. « Si j’appuis un nationaliste canaque, je dirais “chiche” au monarque, car seuls conviendraient plébisciter iceux qui veulent châtier le monarque », sourit Jean-François Merle, guide de Michel Rocard dans les outre-mer donc de la conférence des accords de Matignon, qui divinité la adage « ahurissante ». L’révolu liminaire parlementaire Manuel Valls dénonce relativement éclat, dans lequel un journal, « une solécisme gouvernant et insigne ! »

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