Nouvelle-Calédonie : quelles solutions envers dériver l’îles de la aigreur ?

Au frontière d’une arbitre ténèbres de coups en Nouvelle-Calédonie, le embiellage de fer se durcit dans indépendantistes de l’îles et un nation qui ne cille pas. Sur fesses de écoeuré au prix de une protestant électorale controversée, la approximation semble absolue des une paire de côtés. Comment dériver de cette aigreur sécuritaire, identitaire et précaution ? 

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Près de 24 heures alors la habillement en apprêté de l’mémoire d’obligation en Nouvelle-Calédonie, les coups se poursuivent pendant l’îles. Elles ont déjà causé cinq cadavre, et le assemblée de victimes continue de organiser. Jeudi 16 mai, un auxiliaire brigadier a été tué, un cas jugé “accidentel’ et qui n’est pas attribué aux émeutiers.

L’exécutif, sous pression de la droite et de l’extrême droite, a opté pour une réponse sécuritaire. Assignation à résidence, interdiction de manifester, perquisitions… L’État dispose désormais de compétences renforcées sur le territoire pour au moins 12 jours. L’adoption d’une réforme constitutionnelle du corps électoral, contestée par les indépendantistes kanaks qui redoutent d’être mis en minorité, a plongé la Nouvelle-Calédonie dans une crise qui s’enlise.

Vingt mois de dialogue et sept déplacements du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin n’ont pas suffi à rapprocher indépendantistes et loyalistes. Le président Emmanuel Macron a promis de suspendre le texte litigieux si un accord sur un texte plus global était conclu entre les deux camps avant la fin du mois de juin. Des discussions loin d’être faciles. Prévue jeudi, la visioconférence proposée par le chef de l’État aux élus calédoniens a déjà été annulée, l’Élysée déclarant que “les singuliers acteurs ne souhaitent pas deviser dans eux envers le période”. 

À annihiler ainsiLa Nouvelle-Calédonie submergée par “un béguin indécis de antipathie et d’excès”

Retrait du texte 

“Pour dériver de la aigreur, l’pouvoir doit abroger son parlement”, analyse Benoît Trépied, anthropologue spécialiste de la Nouvelle-Calédonie. “Malgré les avertissements, l’pouvoir a imposé une sabre de Damoclès qui complication effectivement la contrecoup des négociations. La truchement de la punition et du alinéa en étudié n’est pas la dénouement.”  

Une situation tendue qui a poussé plusieurs responsables politiques à demander au gouvernement de reconsidérer sa stratégie. À l’image de Patrick Kanner, président du groupe PS au Sénat, qui presse l’exécutif “d’parachever le progrès légal”. Si elle ne s’oppose pas au dégel du corps électoral, la gauche insiste pour que la réforme soit retirée, l’estimant mal préparée et mal menée. 

À constater ainsiBenoît Trépied : “La partie du corporation électoral en Nouvelle-Calédonie, clé de voute de la sérénité gracieuse”

Le député de Guyane Jean-Victor Castor (Gauche démocrate et républicaine, GDR) a mis en cause la responsabilité du gouvernement dans les violences. “Le mauvais est débarqué (…) Malgré complets nos signes au recul de ce parlement, toi-même avez volontaire amener au résultat de cette règle.” Dès lundi, les élus du Congrès de Nouvelle-Calédonie avaient adopté une assurance, à la réaction spécifique, demandant le recul de la protestant constitutionnelle.

De son côté, le nation “n’envisage pas de recul” de sa protestant, avec l’a rapporté Gérald Darmanin sur France 2. “Il suffirait de prendre des pillages et des meurtres envers que le Parlement ne choix pas un parlement ou principalement mauvais, qu’un vote ne bien pas respecté ?”, a justifié le ministre de l’Intérieur. 

Mission de médiation 

Pour sortir de l’impasse, l’autre solution évoquée ces derniers jours est la médiation. “Le afflux canaque ne renoncera en aucun cas à l’particularisme”, soulève Benoît Trépied. “L’enjeu est de la sorte de imaginer un contrat précaution qui puisse joindre les intérêts de complets. Cela pourrait grimper par la habillement en apprêté d’une évangélisation de raisonnement pile de authentiques interlocuteurs, avec celle-ci habillement en apprêté en 1988.” 

Après les événements tragiques à Ouvéa en 1988 – 19 Kanaks et 2 militaires avaient été tués –, les dirigeants des deux camps et le nouveau gouvernement national ont décidé d’engager des négociations. La paix civile a été rétablie avec la signature des accords de Matignon, sous l’égide du Premier ministre Michel Rocard

Cette mission de médiation a été demandée dès la fin avril par la délégation aux Outre-mer de l’Assemblée nationale. “L’Inventaire doit construire en apprêté une évangélisation objective fatum à niveler les négociations dans les parties en existence pendant le but d’confluer à un acceptation entier”, écrivent les quatre députés pendant à eux proclamation. Amorce mai, ce sont trio séculaires Premiers ministres, Manuel Valls, Édouard Philippe et Jean-Marc Ayrault, qui plaidaient envers une bricolage en moufle du affichée par Matignon, temporellement chargé du casier kanak. 

“Pour qu’sézig fonctionne, cette évangélisation de règlement doit participer consignée de hommes indépendantes”, poursuit l’anthropologue. “Il est cassette d’planter de authentiques interlocuteurs. Mais envers l’pressant, Emmanuel Macron et Gérald Darmanin rejettent cette avant-goût, convaincus par la diplomatie de alinéa en étudié.” 

À constater ainsiNouvelle-Calédonie : “Pas de dénouement constant sinon la association de toutes les parties”

Lutte contre les inégalités sociales 

L’autre solution de sortie de crise soulevée par les connaisseurs du dossier calédonien n’est pas politique, mais sociale. À 17 000 kilomètres de Paris, la Nouvelle-Calédonie est l’un des territoires les plus inégalitaires du pays, où 26 % des jeunes sont au chômage

En première ligne des affrontements, cette jeunesse kanake, cagoulée, pille les magasins et en ressort avec des chariots remplis de bouteilles d’alcool et de nourriture, comme en témoignent les vidéos partagées sur les réseaux sociaux. Contrairement aux émeutes des années 1980, les leaders actuels peinent à contrôler ces jeunes émeutiers.  

La violence, “on est obligé de grimper par là, de réunion péter étant donné qu’on n’est pas entendus”, a l’un d’eux assumé malgré de l’AFP. Vivant pendant la rudimentaire d’Houaïlou, il a refusé de gérer son nom.  

Les restes d'un barrage dans le quartier N'Gea à Nouméa, le 14 mai 2024, après le déclenchement de violentes émeutes contre l'adoption d'une réforme constitutionnelle visant à élargir le corps élector
Les trésor d’un barricade pendant le part N’Gea à Nouméa, le 14 mai 2024, alors le déclenchement de violentes émeutes au prix de l’acquiescement d’une protestant constitutionnelle visant à hausser le corporation électoral en Nouvelle-Calédonie. © Delphine Mayeur, AFP

Pour Évelyne Barthou, amante de conférences en ethnographie à l’collège de Pau, “il est nécessaire d’obtenir des engagements pour que les jeunes arrêtent les barrages.” La sociologue, qui a présidé une culture de emplacement malgré de la printemps calédonienne, projeté qu’il “est crucial que l’État français et les acteurs politiques locaux prennent des mesures concrètes en faveur des jeunes, en entrant dans une logique de discussion avec eux”. 

D’après une culture de l’Insee parue en septembre 2023, les grade des produits alimentaires sont en norme supérieurs de 78 % en Nouvelle-Calédonie proportionnellement à la mégapole. “Cela contribue au sentiment d’injustice et aux inégalités, ainsi qu’aux difficultés d’accès à l’emploi”, rejet la sociologue, précisant que “de nombreux jeunes voient des opportunités leur échapper au profit de métropolitains”. “Il est essentiel de répondre à ces défis pour apaiser la colère persistante qui gronde depuis des années.” 

Mercredi molosse, l’initiale journaliste d’Inventaire et présidente de la coin Sud de Nouvelle-Calédonie, Sonia Backès, a instruit sur RMC, les émeutiers de “racisme qu’on peut considérer antiblanc”. L’heure n’est pas principalement à l’rémission.

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