“On a entendu des insultes racistes et des imitations de singe” : un partie de football inférieurement difficulté pour l’Aveyron

l’caractéristique
Lors du terminal partie de challenge, le Stade Villefranchois s’est agenouillé 4 à 3 lorsque d’une bataille tendue. Les joueurs disent affairé été victimes de prédication racistes et supposé en crève entier au immense de la époque.

La époque des Villefranchois a été compliquée, jusqu’au morceau du challenge. Samedi terminal, l’pool oriflamme recevait Pareloup sur le lice de Lauriere, pile le terminal partie de l’période. Une bataille inférieurement haute difficulté.

Match resserré

Le partie avait mais détenir débarqué pile le Stade. En fin de étrenne arrêt, les joueurs mènent 1 à 0. La aide arrêt se encourage sur les chapeaux de roues, parce que Villefranche mène 3 à 0.
La fin de instant arrêt est considérablement puis belle pile les Villefranchois, qui sont rattrapés au résultat. Ils écopent d’un caisse incarnat, auparavant de entraîner 4 à 3, sur un pénalty à la dernière seconde. Un bienveillance fiel abrité l’pool, d’pareillement que les joueurs disent affairé été victimes d’insultes à être xénophobe de la certificat de différents supporters du association contraire.

“La situation était très tendue. On a entendu des insultes, notamment “sale noir” ou des imitations de primate”, commente le entraîneur adjuvant des séniors. “C’est sûr que cela crée de la frustration chez les joueurs et ça fait dégoupiller. Derrière, c’est difficile de rester concentré”.

“Souvent pris en grippe”

“On est une équipe avec beaucoup de jeunes joueurs noirs et maghrébins. Ce n’est pas la première fois cette saison qu’on entend ce genre de provocation”, encourage le entraîneur. “Cette équipe est souvent prise en grippe. Forcément, à un moment, les joueurs répondent. On a un peu du mal à comprendre parce qu’on accueille toujours les clubs dans le respect, avec une collation à la fin de la rencontre. C’est une jeune équipe en reconstruction, qui travaille dur”.
“Je n’ai eu aucune remontée de la part des joueurs et supporters. La commission discipline fera son travail”, souligne le dirigeant du association de Pareloup.

“Ne jamais agir trop vite”

“À l’heure actuelle, la commission n’a pas été saisie”, indique Michel Perret, son dirigeant. “Tout incident doit être remonté par l’arbitre. Sauf preuve du contraire, ce sont les propos de l’arbitre qui sont considérés comme véridiques. Nous pouvons aussi ouvrir un dossier suite à des remontées des officiels, président ou secrétaire de club. Il ne faut jamais agir trop rapidement et condamner quelqu’un qui ne le mérite pas”.

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