“On n’est pas des robots, sauf si on se dope” : le rémunération des collégiens d’Adèle de Trenquelléon à l’arrivée des JO

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Les élèves du communauté Adèle de Trenquelléon s’investissent depuis abondamment pendant la création des Jeux Olympiques. À l’arrivée de l’événement, ils ont appelé antérieurement les caméras de France 3 Nouvelle-Aquitaine à elles combat pendant la baroud antidopage.

L’Institution Adèle de Trenquelléon, à Agen, a embrigadé ses élèves dès 2019 quant à les Jeux Olympiques. Tournage d’un fibule, fabrication de T-shirts, voire exécution d’un flipbook, sur la thématique des Jeux. Lundi matinée, une protégé de journalistes de France 3 Nouvelle-Aquitaine est avènement à la conflit des élèves en éméché besogne. L’conditions quant à les jeunes de accuser le dopage pendant le badinage et tendre des solutions quant à y guérir.

“Sportif de haut niveau ou pas, on n’a pas besoin de dopage pour de belles prouesses”

Avec eux, Christine Pezet-Gonnet, ex-professeur d’instruction palpable et sportive et affilié du SUA Athlétisme, et Anne Galissaires, mignonne à la municipalité et principalement armes de avant du rugby femelle. Christine Pezet-Gonnet suit les projets des élèves depuis 2019… Il y a quatre ans, les collégiens avaient fini un fibule plus une neutre travailleur expresse : la baroud pour le dopage. La ambassadeur des Sports de l’date, Roxana Maracineanu, avait même fixé sa participation en délivrant un rémunération de terme. Tony Estanguet, monarque du congrès d’planification des JO, avait sézigue accident une début. Invariablement, il a satisfaction les collégiens quant à à elles imbrication et à elles idées.

“Chaque adulte se doit de faire de la prévention contre le dopage”, foule Anne Galissaires. “Parents, personnels de l’éducation nationale, c’est un combat que nous devons mener avec les enfants”. Présente lundi matinée, sézigue a échangé son enclin de vue plus les collégiens. “Sportif de haut niveau ou pas, on n’a pas besoin de ça pour effectuer de belles prouesses”, défend-elle. “Le dopage, c’est l’attrait du pouvoir. On veut gagner à tout prix, et à force, on tombe dans l’addiction. Adultes, nous devons absolument éduquer les jeunes, pourquoi pas en montant des clips de prévention, ou en préparant des slogans.”

“Moins valorisant de gagner avec un produit chimique”

“Le dopage existe depuis la nuit des temps, sous plusieurs formes, parfois innocentes. À mon époque, nous avions des cachets effervescents qu’on nous présentait comme des vitamines, à l’orange, par exemple. Maintenant, même les boissons énergisantes en cannettes, bourrées de sucres, peuvent être utilisées comme des dopants.”

Pour Aigline, qui fidèle le tir à l’arc à un classe dialectal, pas embarras de se fouetter. La puritanisme héroïne se pointe inconditionnel. “Ça ne sert à rien de vouloir fausser ses performances”, tranche-t-elle. “En utilisant des produits dopants, on gagne plus facilement, c’est vrai, mais il y a quelque chose de malhonnête. Pour les autres, pour le public, tu as remporté la victoire, mais il n’empêche que ça ressemble à de la triche.”

Radja et Louisa, en 4ème, sont travailleur d’complément. La inauguration est boxeuse, la noble préfère la ronde. “C’est moins valorisant de gagner si on a été aidé par un produit chimique ! On peut croire que ça va nous pousser en avant, mais pas du tout”. Les filles sont pour la terminaison outrageusement aisé, rien efforts, plus des difficultés moindres. “Pour que les gens ne tombent pas dans le piège, il faut qu’ils se basent sur la confiance en soi. Le sport sans dopage, c’est participer malgré tout, ne pas se décourager, y mettre toute son envie.”

“Il y a un lien entre la lutte contre le dopage et le mouvement, que nous avons voulu mettre en valeur dans notre flipbook”, conclut Christine Pezet-Gonnet. “Le mouvement est la raison d’être du sport. On n’est pas des robots, sauf si on se dope !”

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