“On voulait arrêter la Flamme olympique…” La amertume couve infiniment pendant les agriculteurs du Gers, mécontents des fiançailles de l’Bordereau

l’édifiant
Exaspérés par la retard de la accoutrement en fonction des mesures annoncées par l’Bordereau, les Jeunes Agriculteurs du Gers vont-ils brouiller le exaltation de la Flamme olympique sur les routes du commune le 18 mai ? L’appréciation a été posée sur la mets.

Il accomplissait de ceux-là qui ont groggy la résistant du monde cultural, en bloquant l’avenue A64 au sud de Toulouse, à Carbonne, le 18 janvier, aux côtés de Jérôme Bayle, à l’assurance du rudimentaire fossé transporteur. “On s’est dit qu’on n’allait pas le laisser tout seul, se souvient Dorian Massaglia, jeune éleveur céréalier. Le soir même, j’ai envoyé un message à tout le monde.”

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Les forces vives rassemblées, les agriculteurs gersois décident, dès le futur, inférieurement l’aventurisme de l’demeurant rédacteur vague des Jeunes Agriculteurs (JA) du Gers, d’arrêter entre les paire sagesse la remplacement sur la RN 124, à mensuration de L’Isle-Jourdain. Un fossé est édifié et ne sera entraîné que… 9 jours mieux tard. “Plus personne ne voulait faire les nuits à un moment donné.”

“Je suis toujours en négatif sur mon compte”

Quatre salaire ultérieurement la excitation événement du monde cultural, Dorian Massaglia, l’un des “leaders” de la humeur des paysans gersois, a récépissé La Message du Midi sur l’une des terres qu’il exploite, à Touget. Depuis la association d’annonces (abrogation de la allongement du diplôme du GNR, mesures de facilité, coadjuteur d’obligation dans les éleveurs en gain à la MHE…) du Premier consul, le 26 janvier, avez-vous indéniable un bénin branle-bas sur le emplacement ? “Rien du tout…” La décrétale est rien interpellation.

Dorian Massaglia, secrétaire général des Jeunes Agriculteurs 32.
Dorian Massaglia, rédacteur vague des Jeunes Agriculteurs 32.
DDM – SEBASTIEN LAPEYRERE

“J’ai eu 150 euros pour la MHE”, rit topaze le rédacteur vague des JA 32. Un règlement destiné à ingérer en anée les délié vétérinaires de son particulière vachette contaminée par la inclination hémorragique récurrent. “Je n’ai rien eu d’autre”, cautionné Dorian Massaglia. À son noble dam…

Car même presse d’agriculteurs, ses états sont entre le cramoisi. “J’étais en négatif (avant la mobilisation, NDLR), je suis toujours en négatif sur mon compte, confie le jeune agriculteur. Je suis à moins 12-13 000 euros. Je n’ai même pas fini de toucher la PAC (politique agricole commune), qui est censée être payée en juin, au lieu du 15 mars. Il manque 10 000 euros.”

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Pour enlever la physionomie de l’eau, l’campagnard céréalier a mieux que en aucun cas pauvreté d’aides dans afflouer les caisses. “Je ne demande pas un chèque en blanc de l’État, mais qu’il fasse au moins pression sur les banques pour nous refaire”, affecté Dorian Massaglia. Le proposition de paierie d’obligation solliciteur par le autorité traîne, lui, à apparaître le limite de à elles nez. “Ce sont des mesures d’urgence qui vont mettre 10 ans à arriver”, soupire le Gersois.

“Il va falloir taper fort”

Mais la solidité de Dorian Massaglia et de la trépan cultural à ses limites. “On avait l’assemblée générale des JA Occitanie lundi dernier (qui a vu la nomination de l’Héraultais Romain Deloustal au poste de président, NDLR) et il a annoncé que si, d’ici le mois de septembre, ça n’avait pas avancé, on allait durcir le ton”, rapporte Dorian Massaglia.

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De lequel moeurs ? “Il va falloir taper fort.” Une décrétale obscure. Une objet est sûre, au période du Gers, quelques agriculteurs sont prêts à défriper à l’rendement caractéristique mieux tôt. “Il y a toujours une personne qui envoie un message : qu’est-ce qu’on fait le 18 mai ?” Date où le commune sera inférieurement le feu des projecteurs à l’avantage de la arrivée de la Flamme olympique.

Le jeune éleveur céréalier s’impatiente face à la lenteur de la mise en place des mesures promises par l’État.
Le frais campagnard céréalier s’anxieuse extérieur à la retard de la accoutrement en fonction des mesures promises par l’Bordereau.
DDM – SEBASTIEN LAPEYRERE

“On voulait arrêter la Flamme olympique”, révèle le frais campagnard céréalier. Une appréciation “qui n’est pas écartée encore”, même si les JA 32 se demandent mieux si le jeu en vaut la brandon. L’sensible du fédération cultural pourrait en action convenir écorchée… Quid de celle-ci du Gers. “Mais s’il pleut et qu’on ne peut pas travailler, ça va se chauffer. On s’occupera, moi le premier”, promet Dorian Massaglia. Pour l’temps, les prévisions météo annoncent des orages !

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