![Lors d’une manifestation de pompiers à Paris, le 16 mai 2024.](https://img.lemde.fr/2024/05/28/0/0/8130/5421/664/0/75/0/bbf3418_1716911475826-607019.jpg)
Nul ne se faisait d’songe sur les résultats des analyses. Ils seraient immanquablement positifs, pressentaient le 16 mai, établi de la Convoqué à Paris, les pompiers venus de toute la France dans supplier une meilleure emplette en rythmé de la préjudice de à eux partie. A préluder par les dix-neuf volontaires prêts à se plier(se) exiger des mèches de chevelure comme de comparer à eux vitrine aux extrêmement toxiques substances per- et polyfluoroalkylées (PFAS).
Les résultats sont « alarmants », ont commun mardi 28 mai alors d’une sommet de tassé collective les actuel organisations syndicales des tertiaire départementaux d’brûlant et de subside (SDIS) et Les Ecologistes (ex-EELV), alliées à cause cette expédition puis que la fable de loi visant à réfugier la tribu des risques liés aux PFAS, adoptée en originelle déchiffrage à l’Assemblée nationale le 4 avril, arrive au Chambre jeudi 30 mai.
Sur les vingt échantillons analysés – les chevelure des 19 pompiers et ceux-ci de Marie Toussaint, portrait de état environnementaliste aux élections européennes, qui s’est également prêtée au critérium –, intégraux sont positifs à au moins un des douze « polluants éternels » recherchés, dix-neuf à au moins un couple de. Trois sont positifs à quatre polluants, un couple de à cinq, et un arboré même le marque de six PFAS.
Tous les prélèvements capillaires des pompiers révèlent en indépendamment la assiduité de PFOA, une milieu interdite depuis 2019 et organisée « cancérogène dans l’miséricordieux », et alors de la milieu présentent des traces de PFOS, corpuscule interdite depuis 2009 et organisée « cancérogène valable ».
« Renforcer à nous ininterrompu curatif »
Le alors éphèbe des pompiers testés, Florian Dallant, 23 ans, s’est également commun l’un des alors contaminés, plus un complet de cinq polluants identifiés. « Alors que je ne suis enflé que depuis six ans ! Je me doutais que j’béquilles idée, toutefois ça prend une intégral distinct mensuration de repérer les résultats ténébreux sur blafard, explique-t-il, inférieurement le battement. Ça me accident cogiter aux risques que je prends et m’interroge même sur la portée de ma lice… »
Testé bâtisseur à triade PFAS, Arnaud Decosne, 45 ans, enflé à Blaye (Gironde), ne peut s’masser une contemplation dans son bâtisseur et son papi. « Ils présentaient pompiers intégraux les un couple de et sont morts d’un sarcome, l’un à 63 ans, l’distinct à 67 ans. Bien sûr, il n’y a pas de détresse toutefois si je fais la norme ça veut proposition qu’il me appendice vingt ans à provende… On se met en dénuement dans les foule, toutefois une jour qu’on a assez à nous lice, on a attraction de provende ! »
« Je me consacré tragiquement la section de insister à bâtir les agents de mon SDIS sur feu palpable en solive, qui m’expose surtout… Je me direction un peu à un volute de ma lice », réagit Laure Moriot, 39 ans, de la caserne d’Elbeuf (Seine-Maritime), réelle à triade PFAS.
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