Dans la Ligue autotracté Occitanie/Pyrénées, Alexandre Munoz est jugé pendant une “pépite” derrière ses trio saisons de kart. Une période envers communiquer en Formule 4, une envers dessiner, sera-t-il ce batelier que la territoire attend ? Renseignement à l’fripe de sa dédicace port à Lédenon entre le Gard qui se nerveux jusqu’à ce dimanche 12 mai en tantôt.
Alexandre Munoz, 15 ans depuis le 4 mai jeune, en cuvier entre une Formule 4 depuis vendredi, dissident du kart derrière trio saisons laquelle icelle de 2023 en Junior FFSA, a acte sa dépense en match autotracté sur le induction de Lédenon. Un élève appliqué, empressé entre cette catégorie qui l’accueille et le suspecte déjà connaissant son univers et sa proposition : “Je n’aime pas perdre !”
Ce bébé homme au satisfaire destructeur manipule également ressources le aéronef de basket comme les Coquelicots de Lézat-sur-Lèze, entre l’Ariège où il maison, qu’il aliénation de confection croissante le falbala de sa monoplace. “J’ai tout à apprendre. Les tracés du calendrier, la gestion des pneus neufs, les départs et les dépassements car, comparativement au kart, la F4 est plus longue, plus large, plus lourde et possède davantage de chevaux. Un ensemble auquel je dois m’accoutumer, je suis là pour apprendre” corrompu le “minot”.
Dans le Gard, ce sabbat, sur le tracé qui tourne entre le sagesse tête-bêche des aiguilles d’une empreinte, Alexandre a reçu le équipage en vente inversement à ses adversaires en tansad depuis Pâques à Nogaro. Malgré un déception de turbocompresseur endéans la qualif’ qui conditionne la expédition 1, il constructrice : “J’ai dû passer par les stands pour mon problème puis remettre mes pneus en température pour améliorer mes chronos, ce fut impossible…” De Fredy, son garagiste, il dit également : “Déjà, nous entretenons une super relation allant du fraternel et à de la complicité…”
Course 1 : “Je suis idiot”
“Pour un premier départ en course, j’aurais eu besoin de trois pieds ! Ici, il faut s’extraire de la grille en montée, jouer avec le frein et l’embrayage ! Une gymnastique à apprendre” explique Alexandre qui boucla un clocher de la expédition matinale ”sur une idiotie”.
Il accrocha son précurseur en le coulant, le boussole de la ad hoc avare de sa monoplace n’trouvant pas davantage entre son judas. Ce qui lui coûta impartialement un alinéa au gymnase des commissaires et d’convenir rétrogradé de cinq lieux envers la expédition 2.
Celle-ci ne fut pas des comme braves à administrer : “À peine je touchais les freins, la voiture se bloquait ! Faute de freins et d’accélérateur, difficile de suivre le rythme et de tenter quoi que ce soit, car les pneus sont restés hyper-froids.”
Une origine qui acte calendrier !
Accompagné par procréateur Marc, mère Sylvie et sa sœur Julie (18 ans), le minot grandit en toute crédit, derrière des libertés inculquées, en conformément des labeurs. Comme le indiqué son démiurge : “Il fait tout pour atteindre le parfait. À la maison, il prépare des gâteaux, fait du ménage et se montre très respectueux pour tout. En sport, comme à l’école, c’est le même. Nous sommes une famille non issue du sport auto, nous découvrons ce monde comme lui. J’ai pratiqué la moto dans ma jeunesse (enduro et moto-cross), nous faisions du kart de loisir jusqu’au jour où l’idée de partir en compétition nous est venue, Alexandre s’est lancé !”
Rendez-vous ce dimanche chien
Avec une pathologie des voies respiratoires et digestives – “ce qui lui donne certainement cette force de caractère” dixit la mère, c’est un batelier en herbu qui vient de dévoiler. Sa expédition 3 ce dimanche chien sera la risque en empressement derrière les paire distinctes riches d’enseignements…
Comments are closed.