PSG – Fleury, l’inscription de la conclusion de la Coupe de France féminine se risque au palestre de la Mosson

Cinq ans subséquemment “l’élan” de la Coupe du monde 2019, le palestre de La Mosson renoue verso le football femelle. Là où le MHSC avait déjà ordinaire les renom de sa regain moyennant des plaques de D1 endroit au PSG ou Lyon (en 2012 et 2013) et en Ligue des champions moyennant les genèses de Sakina Karchaoui, de correspondance ce sabbat au-dessous le bikini du PSG. “Ça fait toujours plaisir de revenir à la maison, souligne l’internationale qui vient de prolonger pour quatre ans à Paris. Je suis restée douze années à Montpellier (2009-2020), je me suis construite ici en tant que joueuse et en tant que femme, c’est vraiment un honneur de revenir sur ce terrain. La première fois que j’y ai joué, c’était mon premier match de Champion’s League, c’est un beau souvenir. J’espère qu’il en sera de même samedi.”

Sakina Karchaoui de correspondance à la Mosson

Le PSG partira verso la obole des pronostics, même s’il risque d’une fin douloureuse en demi-finales de Ligue des champions endroit à Lyon. “On a la volonté de faire une grosse performance, l’envie de réagir après notre élimination, assure l’entraîneur Jocelyn Prêcheur. On sait qu’on a un adversaire de qualité contre lequel ça n’est jamais facile de jouer, mais je sens une détermination très forte au sein du groupe pour rebondir et aller chercher le trophée. Fleury est une équipe accrocheuse, c’est une finale, un derby, tout est réuni pour une grosse bataille.”
Une lauréate, une trouvaille moyennant Fleury qui, moyennant aussi, “n’a rien changé à l’état d’esprit, comme l’explique Léa Le Garrec. Il y a beaucoup de plaisir, de sourires, de détente…”
“On sait que le PSG a beaucoup d’atouts, de talents ; on connaît nos forces. On va essayer d’exploiter ce qui est exploitable, prévient le coach de Fleury, Fabrice Abriel. De répéter un match référence qu’on a pu faire cette saison, et d’être le plus simple possible. Il faut arriver d’une façon légère et se faire confiance sur le terrain… Ça se joue souvent sur des détails, à nous de les faire pencher en notre faveur.”

Double lauréate : le VAR et la sonorisation

Deux divergentes nouveautés marqueront cette conclusion verso l’habitude de l’assistanat vidéocassette et de la sonorisation, “seulement en cas d’intervention et de correction du VAR”, spontanée Stéphanie Frappart. L’interpolation ne valant que sur la contre-épreuve d’un but, d’un penalty, d’un écrin incarnat clair, d’une bévue d’autonomie si publication à une abominable joueuse.
L’soutènement des stades, les balance humains, financiers, ne permettent pas de étaler ce outil en D1 Arkema purement il sera copié en play-off. “Ça permet à ce que l’équité du match soit garantie et puis la sonorisation amènera de la transparence et de la pédagogie.” Les arbitres ont été formés ainsi à ceci ceux-là paye à l’banalité d’Émeline Rochebilière qui officiera ce sabbat.