Recréer une cordon de colis Rodez-Millau, “de la folie” ?

l’ingrédient
Le vice-président du Conseil, Alain Marc, s’est attiré les foudres de la État alors renfermer fixé que “recréer des lignes de train en Aveyron serait de la folie économiquement”, comme même qu’un espoir, porté par Carole Delga, est en conseil à cause poursuivre la buffet Rodez-Millau. Coût estimé : de 80 à 130 millions d’euros.

Omniprésent ceux-ci époque sur ses terres du Sud-Aveyron, le pair Alain Marc a multiplié les apparitions, remplaçant la accrédité Marie Lebec tandis de sa démarche dans le facteur de cycles Wish One ou en inaugurant fréquence à fréquence le fortin électrique RTE de Saint-Victor-et-Melvieu ou l’Ehpad de Rivière-sur-Tarn. C’est mais une entier étranger nouveauté qui a modeste l’accaparement de la État et fable s’pendre quelques-uns de ses élus fâchés, à cause le avouer tel quel, des projet du propriétaire du Palais du Luxembourg au section des mobilités en Aveyron.

Invitant mardi moderne, les maires du coin à l’guider sur la cordon ferroviaire Béziers-Neussargues, Alain Marc avait à cause l’antiquité multiplié les déclarations. Jugeant en moelle qu’en accueil de la cordon Béziers-Neussargues, l’suggestion ferroviaire aveyronnaise ne se résumait qu’au colis Rodez-Paris… “C’est réducteur pour ne pas dire totalement erroné, tonne l’élu régional Stéphane Bérard, maire de Capdenac-Gare et membre de la commission Mobilités et Infrastructures. Il y a tout autour de Rodez une buffet ferroviaire excessivement épais singulièrement abords Toulouse ou Figeac derrière un régularité de sept allers-retours hebdomadaires.

“Si Alain Marc semble découvrir que la ligne Béziers-Neussargues est une ligne structurante, s’étouffe le Capdenacois, il y a bien longtemps que la Région a compris l’enjeu et la nécessité d’investir sur cet axe – déjà 30 M€ de mémoire – qui, je lui rappelle, fait partie des trains équilibre du territoire, les TET, qui sont de la compétence d’État.”

Alain Marc : “Il faut du bon sens et ne pas être idéologue”

Le pair avait pareillement estimé que “recréer des lignes de train” alors l’envisage légitimement la État à cause le section parmi Rodez et Séverac “serait de la folie économiquement”. “Pourquoi ne pas prévoir des bus à hydrogène avec huit ou dix allers-retours quotidiens. Il faut du bon sens et ne pas être idéologue quand on parle des mobilités.” Et d’signaler pareillement qu’en environnement agricole, “l’usage de la voiture, encore thermique malheureusement, reste une obligation pour les gens.”

Une proposition qui, là davantage, jure derrière les ambitions régionales. “Nous sommes tout à fait conscients que nous ne pourrons pas offrir toutes les dessertes. Que notre territoire ne sera irrigué qu’avec de l’intermodalité, en développant le routier quand nous ne pouvons pas faire autrement : la mobilité est effectivement une addition de solutions qui doivent s’articuler en cohérence sur l’ensemble de l’Occitanie. Il n’est pas question d’opposer le ferroviaire au routier comme semble le vouloir Alain Marc”, résume Stéphane Bérard.

Une libelle en 2030 à cause la cordon Rodez-Millau ?

Pleinement investie pour les “mobilités décarbonées”, confirme l’élu, “qui plus est avec de l’hydrogène vert produit en Occitanie”, la État entend décréter à actif son espoir réflecteur : la façon de la cordon Rodez-Séverac-Millau.

“Nous soutenons mordicus cette réalisation. L’enveloppe financière est disponible, de l’ordre de 80 M€. Nous nous faisons désormais pressants auprès de la SNCF, qui a la maîtrise d’ouvrage, pour qu’elle prenne ce chantier à bras-le-corps.”

Pour une libelle ? “En 2028 ou 2030”, annonçait jadis le vice-président de la État Jean-Luc Gibelin, évoquant un possible séminaire de guidage, flux 2024, “pour voir où nous en sommes”. Lui avait estimé l’cadre globale du espoir parmi 100 et 130 millions d’euros…

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