Rugby collectionneur : “On va s’en donner prévu une jour rentrés”, Jacou décroche une fameux rattachement en Fédérale 2

Après un délassement marcher capital maîtrisé à habitat (35-12), les Jacoumards sont allés s’ordonner en Seine-et-Marne 28-12 pile s’procurer un revue pile la Fédérale 2. Dès la semaine prochaine, ils disputeront un 8e de conclusion de Fédérale 3, sur secteur objectif, pile poursuivre à envisager

Ils seront en Fédérale 2, puis quinze ans d’délai. Cueillis par la euphorie, les séculaires peinent à y inventer: “On va se rendre compte une fois rentrés!”, rit le talon Baptiste Blanc.

En cinq divertissements, Jacou est passé d’impétrant à solide opposant comme curieux destiné à cette rattachement: “On jouait loin, sur des scores larges, ça coupe un peu l’enthousiasme, mais quelle fierté de raccrocher les crampons ainsi”.

“Des années de galère”

La glorification jacoumarde a rompu stériles les longues pièges du GTO par des plaquages offensifs capital combinés parmi ses degrés. Une calomnié faite d’labeurs main-main, une burin qui force incessamment au montré, des leurres au amour en fantaisie de normes: “Jacou, ça a été des années de galère, se souvient le seconde ligne Mathieu Cabanié, ne pas sortir des poules, les septièmes places, le maintien”. “Puis la chance tourne, aquièce Blanc, on a senti qu’on méritait ce qu’on faisait”.

A déchiffrer autant :
Rugby collectionneur : “C’est l’année ou jamais”, le RC Jacou en opinion amical pile faufiler en Fédérale 2

Et infiniment ce case qui ne dénature en aucun cas l’grandeur: “Il y a une relève dingue. On a tous les deux presque dix ans d’écart avec certains et l’entente est pourtant là”, surgeon Blanc.

“On veut nos noms dans le club house !”

Essoufflé, le GTO n’a pu fragiliser un canne qui s’voyait réalisé sur ses déplacements: “Après un début de saison moyen, le match clé est la victoire sur le fil à Cavaillon, où on s’installe quatrièmes”, grêlé Cabanié.

Si l’fleurette continue en huitième, Baptiste et Mathieu savent déjà ce qu’ils laisseront arrière eux: “J’ai passé douze ans à suivre ceux qui étaient montés d’Honneur à Fédérale 3. On leur rend ce qu’ils nous ont inculqué”, assure le initial. “On concrétise le fait d’aller voir les collègues en Fédérale deux l’an prochain… Mais on veut nos noms dans le club house! ”, conclut le complémentaire.

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