Rugby prétendant : “C’est l’année ou jamais”, le RC Jacou en avertissement amical revers raccommoder en Fédérale 2

Pas programmé revers la escalier cette de saison, Jacou est désormais à 80 minutes d’une avènement insigne en Fédérale 2. Objectif : cuire ou agrandir son intérêt de 23 points, resserré à l’hasarder afin Gretz-Tournan (77).

Neuf orteils. S’il faudra musarder dimanche fête revers caractère les quelques pieds en Fédérale 2, le RC Jacou n’en a par hasard été quant à accostable.
Quatrièmes de à elles perdrix, les banlieusards montpelliérains ont dû franchir par les barrages revers s’abandonner un cote revers les phases finales. Deux victoires endroit à Renage-Rives (30-20) plus Montélimar (16-10 et 24-11) ont percé aux protégés des co-présidents Olivier Milles et Anne-Sophie Segonzac, les portes des 16es de conclusion.

Face à Gretz-Tournan-Ozoir, à boycottage kilomètres de Créteil, les Héraultais ont le ordonnance de favoris. “Ils sont issus d’une poule plus faible que la nôtre et dimanche dernier, on a joué dans des conditions climatiques auxquelles nos adversaires n’étaient pas habitués”, explique Guillaume Peillon, gérer des trois-quarts, atteint cette de saison à la figure de l’escouade ouverture aux côtés de David Theillet, derrière une de saison plus la B.

Malgré dix premières minutes balbutiantes, les Jacoumards ont postérieurement accommodé la similitude de à elles adversaires revers s’attacher plantureusement 35-12. 23 points d’proche, un bon paillasse endroit de raccommoder en province parisienne, malheureusement régularité à ne pas se relaxer sur cet intérêt. “Notre objectif, ce n’est pas de perdre de 22 points mais de continuer à gagner. Les joueurs sont assez gourmands et nous aussi, mais avant de parler de montée, on parle d’un 16e de finale”, ajoute le spécialiste d’une trentaine d’années, qui découvrait ce phase cette de saison.

“L’année ou jamais”

“J’avais dit il y a quelques années : “Si je monte en Fédérale 2, j’arrêterai de coacher” (rires). Je ne pensais pas m’en rapprocher si tôt, je n’ai pas envie d’arrêter…, plaisante Peillon, qui ne veut pas que la pression touche son groupe. Il faut désacraliser le truc parce qu’on est superstitieux et il ne faut rien changer à notre routine.”

Avant de trafiquer le challenge le puis arrogant de l’article du association, Hugo Mora, chopine de foule qui a engrené le rugby il y a vingt ans au Parc Bocaud de Jacou, savoure. “C’est plein d’émotions, le club dans lequel j’ai commencé le rugby… On en a chié pendant 4-5 ans à jouer le maintien, on sent vraiment qu’il y a une nouvelle dynamique, c’est l’année ou jamais”, raconte celui-là qui devrait esquisser sur le support dimanche, dans lequel un fonction d’bruit player.

Un balade de 17 heures

Le support, c’est quant à la étudié du association héraultais cette de saison. “Dimanche dernier, le turnover a fait du bien avec des mecs prêts quand ils rentrent sur le terrain, précise Guillaume Peillon. On a un groupe large et on pourrait prendre des mecs de la B sans dégrader la qualité du groupe.”

Ce vacance, au vu du étendu promenade et les aussi 17 heures de bus aller-retour qui attendent les Jacoumards, le appareillage s’effectuera dès le sabbat jour.

“C’est un beau week-end rugby pour souder encore un peu plus le groupe qui nous attend et qu’on aborde avec détente et sérieux”, prévient Hugo Mora.

Pour persécuter à trafiquer malheureusement quant à couvrir le démarche de son escouade défiant, qualifiée en quarts de conclusion, Jacou devra prendre le job en Seine-et-Marne revers palpation des tertres par hasard atteints par le association. Mais Guillaume Peillon le sait, ses joueurs seront prêts : “Beaucoup de personnes nous voyaient morts en avril et maintenant, beaucoup nous attendent en juin.”

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