Saint-Etienne-Rodez en barrages de Ligue 2 : “Obligé d’avoir 23 mecs impliqués” commente l’instructeur Didier Santini

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L’instructeur Didier Santini a salué l’posture des joueurs peu ou pas pratiqué nouvellement et gazette à elles mesure pendant lequel la terminaison de la durée ruthénoise.

Et si les joueurs solennels pendant lequel la terminaison assidue de Rodez, qui se déplace à Saint-Etienne lendemain moyennant ergoter son assistant play-off, ne se résumaient pas nonobstant à ceux-là présents sur la plate-bande ? À différents reprises ces dernières semaines, l’instructeur Didier Santini a cédé le attitude de ceux-là qui ne jouent pas ou peu, et sont de même à l’formation des bonnes performances actuelles. “Pour faire une saison comme celle qu’on fait, on est obligé d’avoir 23 mecs hyper impliqués”, avance-t-il.

“Si demain quelqu’un n’est pas dans l’investissement, j’irai voir le président pour dire : “Je ne veux puis le compétiteur”, ajoute le coach. Je ne mets personne à l’écart, je fais des choix. Qu’ils m’en veuillent, c’est compréhensible, mais pas envers leur partenaire. Ils font un beau métier, donc même quand on ne joue pas, il faut arriver avec le sourire et bien bosser à l’entraînement pour mettre les autres en condition.” L’gageure est de stimuler un bain adéquat moyennant publier le premier de quiconque.

“Je fais tout ce que je peux pour pousser les attaquants qui sont devant moi à être plus performants, en leur montrant que je suis là et que s’ils sont un peu moins performants, je prendrai leur place”, résume Clément Depres. “Le rôle que j’ai, en ce moment, est de me donner à 200 % à l’entraînement, complète Joris Chougrani. Pour montrer aux titulaires qu’ils ont tout intérêt à être tout le temps à fond, à ne pas baisser le niveau d’intensité.”

Leur instructeur cite généralement le cas de son bras Stone Mambo moyennant aggraver l’posture qu’il attend : “Quand il est arrivé, il s’est blessé, ce qui fait qu’il n’a pas joué de la première partie de saison. Il n’a rien dit, il a bossé. Quand il a commencé à jouer, il a été bon mais s’est de nouveau blessé, alors il a perdu sa place. Et de nouveau en ce moment, il joue. C’est l’exemple à suivre : le jour où vous aurez le temps de jeu qu’il faut, montrez-moi.”

Mais les bonnes intentions n’empêchent pas un duo de notes d’âme. “Il y a forcément de la frustration, on a envie d’être sur le terrain”, reconnaît Joris Chougrani. Continuellement pratiqué en gagnante paragraphe saison, le bras a condamné sa ardeur lorsqu’il a subi une contusion à un articulation, en janvier. Il n’est interminablement pas débarqué sur une touffu de concurrence depuis. “Le groupe tourne bien, ceux qui jouent ont le niveau, donc il n’y a rien à dire là-dessus, ajoute-t-il. J’ai 33 ans et il faut savoir faire la part des choses : quand les autres font leurs matches on n’a pas notre mot à dire.”

Pour river l’embargo de ses joueurs, Didier Santini a de même avancé l’raison des cheminement individuels. “C’est dans l’intérêt de tout le monde qu’on finisse le plus haut possible, même pour ceux qui ne jouent pas. Quand on cherche un club, il vaut mieux être celui qui ne jouait pas chez le 5e de Ligue 2 que celui qui ne joue pas chez le 18e de Ligue 2”, argumentait-il donc des dernières semaines du compétition, précédemment que Rodez ne affecté sa ardeur en play-off.

L’instructeur a sorti cette commandement pour les éléments les moins utilisés de sa obtenue palissade de compétiteur. “Je sais pour quoi à Bastia ça a marché, pourquoi à Lille ça a marché, pourquoi à Toulouse ça n’a pas marché (trois clubs où il a joué, NDLR), dit-il. Ce qui est important, c’est le groupe, mais aussi le président qui fixe une ligne directrice et le staff, qui l’applique. Il faut que tout le monde soit dans le même accord, la même implication. Si les mecs à l’entraînement abandonnent, on ne peut pas y arriver. Ce qu’on a réussi à faire, c’est avec tout le monde. Y compris Eric (Vandenabeele, blessé gravement lors de la première journée), qui n’a joué qu’un match. Il a été là, il a poussé derrière nous quand il était là avec ses béquilles. Tout est important.”

Et le incident de moins miser n’empêche pas de posséder de la absurdité qui entoure le Raf. “Les émotions sont différentes que lorsqu’on est sur le terrain, mais j’étais aussi à fond qu’eux”, commercialise Joris Chougrani opportunément du concurrence grâce à le Paris FC, mardi. “On a apporté notre pierre à l’édifice, ajoute-t-il, même si elle moins grosse que celle des joueurs qui jouent en ce moment.”

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