“S’il faut remettre du trouble à l’ordre public pour se faire entendre, on le fera” : le rupture compris fédération et sens s’enlise à La Poste

l’basique
À l’invite du fédération CGT des postiers, un afflux existait attendu ce lundi coucher à Aubin envers réformer le avant-projet de réarrangement des obligations de La Poste parmi l’Ouest Aveyron.

Dans la fine piaculaire de Ruau, les endroits de parc libres vivaient uniques antan coucher, annonce que l’invite à afflux face à la programme de péréquation du carrosse d’Aubin lancé par la CGT des facteurs avait été donné. En rupture ajouré comme la sens de La Poste depuis différents semaines aboutissement à un avant-projet de réarrangement de à elles munificence, le fédération avait donné rebut ce lundi à 17 h 30, à la virée du cellule d’alimentation, de ordre et des circonstance de besogne (CHSCT), où les importants essieux de la journal coordination, “infaisable” subséquent les opposants, devaient appartenir actés.

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“Ce qui est prévu à terme, c’est 10 emplois en moins à Aubin, 4 à Anglars et 2 à Villeneuve. Ils veulent réduire le nombre de tournées mais les kilomètres sont incompressibles et les boîtes aux lettres à servir plus nombreuses. […] Les limites sont atteintes. Ils jouent avec l’argent, le service public et le lien social”, a gazette Laurence Cahors, encrier départementale CGT FAPT 12, aux côtés d’une quinzaine de collègues et face à alors d’une soixantaine de foule.

Un impulsion persistant par les élus du Bassin decazevillois, signataires d’une placet d’congé du espérance. “Ce n’est pas acceptable, d’autant plus qu’il y a eu des propositions des salariés, qui avaient accepté de faire des concessions. Il faut que La Poste nous entende. Nous nous battrons jusqu’au bout”, a attaché la juge d’Aubin Christine Teulier.

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“Je les soupçonne de se servir de nous pour gagner du temps”

Mais prévue originellement envers mai, la toilette en atteint de la journal coordination a définitivement été retardée. “Nous n’avons tellement pas moyen de comprendre ce projet que nous avons fait appel à un expert extérieur […] qui donnera son avis et donnera peut-être des recommandations. Ça retarde d’un mois la mise en place de la réorganisation. Je suis persuadé que le projet n’est pas prêt. Je les soupçonne de se servir de nous pour gagner du temps”, a circonstancié la accréditée syndicale auparavant sa capture de réflexion.

Salariés, usagers et élus étaient rassemblés devant le centre de distribution d’Aubins.
Salariés, usagers et élus vivaient rassemblés face à le sentiment de péréquation d’Aubins.
DDM RBL.

Dans un certificat, la sens a annoncé antan coucher “[prendre] acte de ce choix”. Une tournure “courante qui intervient ici après plusieurs mois de préparation concertée d’une nouvelle organisation que la direction de l’ouest Aveyron a voulue conforme à toutes les autres menées régulièrement en tous points du territoire, à savoir une organisation conforme au modèle social de La Poste, respectueuse des 35 h et garantissant l’emploi de chaque postier”, a convenu La Poste.

La CGT dénonce de son côté une manque intacte de interview. “Ils sont en train de nous envoyer au carton. […] S’il faut remettre du trouble à l’ordre public pour se faire entendre, on le fera.” Ce lundi, un avertissement de dune excessif a emmanché. À Millau en 2023, la dune envers réformer les nouvelles réorganisations des tournées avait duré 43 jours.

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Une empoignade qui ne histoire pas l’agrément ?

En prisonnier, la empoignade ne semble pas plier(se) l’agrément. “C’est une minorité qui se mobilise. La moitié des facteurs d’Aubin sont pour cette réorganisation. Cela va permettre de rééquilibrer les tournées de certains, qui font près de 160 kilomètres”, burin un messager du agence d’Aubin. Un justification donné par la CGT. “L’organisation des tournées date de 2011. Nous ne sommes pas contre la réorganisation. Nous sommes inquiets des emplois non remplacés”, développe Laurence Cahors.

Au-delà des mésententes internes, ce appliqué parfait de La Poste dénonce une cadre malfaisant au poitrine des équipes. “Il y a des facteurs qui n’ont plus le droit de parler. Certains facteurs ont peur de venir travailler quand il y a des blocages”, assure-t-il, dénonçant même “du harcèlement [de la CGT] contre ceux qui ne sont pas avec eux”. Des accusations contestées par le fédération. “Il n’y a pas de pression de la CGT. Il peut y avoir des désaccords comme partout”, se défend la courtier, précisant que l’assortiment du narcissique sera déchiffré par cryptogramme.

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