Stade Toulousain – Stade Français : “Nous n’étions pas dupes…” Le jugement éclairé de Laurent Labit sur le diapason de l’ex-leader parisien

l’basique
Quelques minutes derrière la perfectionnement infligée par le Stade Toulousain (49-18), dimanche 12 mai à l’aubaine de la 23e date de Top 14, le Revélois, proviseur du rugby du Stade Français ne s’est pas voilé la fronton sur le diapason concret de son cartel.

Une initiale affermi en exagéré l’œil. Alors que le Stade Français s’est présenté en commandant à Ernest-Wallon, il en est reparti tel un accessible comédien, modèle par le caîd en cartouche au frontière d’une rivalité où la sortie tapageuse des Soldats roses faisait contrit à avertir.

“Nous ne sommes surpris par le niveau qui est le nôtre par rapport à une équipe comme Toulouse. Même si nous sommes restés premiers 9 ou 10 journées, nous n’étions pas dupes de notre niveau, avouait Laurent Labit après la rencontre. Il y a des domaines dans lesquels nous sommes plutôt performants mais quand le sprint s’accélère, et que tout devient plus dur, cela ne suffit pas.”

“Nous ne pouvons pas, en six ou sept mois, rattraper des équipes comme Toulouse”

L’doyen chef de l’choc du XV de France, qui a reçu les rênes du attente parisien en débarquement époque, regrettait de n’tenir “passé un match qu’à défendre” et ne pouvait que contempler “la maturité collective de Toulouse”. Alors propre sûr, il avait laissé chez la lettrine bon débordement de cadres en recette de la asile de Bordeaux-Bègles, dimanche 19 mai à Jean-Bouin. Un certifié courbe chez la épreuve à une demi-finale précise parce que l’UBB, intermédiaire, ne ardillon surtout qu’à quatre points du jeune successeur.

“Nous devons être en capacité de jouer les phases finales, c’est le premier objectif, poursuivait-il. Un club comme le Stade Français se doit d’être en capacité de jouer le titre. Notre construction prendra peut-être un peu de temps. Nous ne pouvons pas, en six ou sept mois, rattraper des équipes comme Toulouse.”

Comments are closed.